J'ai bercé mes nuits d'un flot immense, de délices fragment de mon coeur, ainsi l'amour me respire profondément. Créant dans chaque iris l'illusion de s'accorder à être aimé, l'éden paradisiaque en larme douce dans un chaud ruisseau m'entrainant a chevauché le pouvoir de l'amour. L'orchidée mourant de douleur délivra mes maux de torrent de peine. Une ouïe que je partage avec la vie au fouet de ruse, et une muse au nez bien scalpé. DIEU m'offre une aube pleine de secrets, sur de l'est, Espoir, persévérance, le courage à m'ouvrir les sentiers aux combats d'embuches sans fièvre. D'un crépuscule en rayon de beauté stellaire, belle image gravée de l'ouest, amour patience et piété, pardonnée aux fragiles âmes et cruautés humaines. Un défi pour l'immortalité de mes cinq mages de vie. Dans mon monastère, il ya point de porte blindée sans détour ni cachoterie, ni ses blessures qui achèvent le présent, ni cette grave satisfaction de tous les désirs qui te couve par matière tendresse, te rend aveugle. J'y règne à l'âme divine source d'un absolu bonheur, ceux qui en sortent découvre la sagesse d'exister, la chance de côtoyer le pur et sincère amour. Enfin posséder à l'éternité les clefs de la longévité de VÉNUS. Tu seras aussi naïve que la nature te dévoilant son navire fou des quatre saisons, plus bête que toutes nuitées aspergeant tes jours de candide volupté d'invisible sensation du sixième sens. Je n'attends pas le retour du condor, je n'attendrais pas jusqu'à avoir soif, le sommet du miel s'écoule le mal, ni ce temps pour qu'il se fige. Oui ! (Le soleil brèche de fraîcheur renoue chaque matin ses promesses baise l'horizon deux fois) Mes promesses restent sacrées au-dessus de tout aveu, je déteste les jurés promis à la Française qui exhume la parole sur l'honneur, et cette nouvelle formule de vie (Tu excites tout ce monde jusqu'à en être excité) sous la fresque de la bonne amitié, oubliant que le miroir cirera les rides, personne n'aura aucun souvenir de tes blanches nuits. J'aime cette abeille royale aphone aux tumultes qui cheminent son miel, fidèle aux nobles sensés. Ce pelletons de fourmi depuis des décennies jusqu'au déluge se partage une mie de pain. Ce chaton qui saute de mur en mur, grimpant les arbres d'un citronnier ou oranger afin d'arriver à ses petits, s'allongeant dans la basse-cour, ou un couloir attendre ses chatons pour les allaités dont ma Grand-Mère les a offerts à nos voisins pour être bien nourris, ainsi, tour à tour, de maison a maison, suivant l'odeur de ses petits sans oublier sa promesse a les élevés, il en reste d'humain, mais sous une autre forme animale. Si vous acceptez mon invitation, bienvenue dans mon bal, je prends ta foudre, à ma danse orientale qui retient tes soupirs en flammes, les notes orchestrales de la nuit au bruit de mon corps. Ton élan d'une sirène refrain majeur aux pouls de mon coeur. Dans ce feu dormant de tes désirs enfouis, ta chaste chair tremblera de passion en mineur sous une étoile nuptiale. Tes clairs yeux reflètent les contrastes d'une fontaine en cristal, brillent les chemins d'avenir. Enchanteresse consolatrice, sur tes longs cheveux se pose la clarté d'un astre, givre tous mes soucis, ton effluve doux câlin à mon sommeil vierge, une beauté et tel mirage qui te protège. Des murmures dans un ciel bleuâtre se meuvent sur le berceau d'une mer verdâtre, tout s'agite en moi, en joie sempiternelle, tout palpitera en toi au sein d'un futur exaltant dans ma danse orientale. (L'idiot qui divulgue ses chagrins, la nuit se révolte contre tous espoirs, soyez vigilant et souriant). À quoi me sert de mentir, impuissant à te crée un paradis celui de tes rêves, déjà tu en fais partie de mon existence. Mon Nautilus remplit de perle et d'autres surprises. Le bonheur, l'amour se trouvent en soi, et non chez la dame au tarot dont elle-même n'a pas de chance. Je t'offre le foulard blanc d'une étoile filante, elle rendra à tes joues sa pourpre rose. Je resterai maudit, tu seras la plus chérie, inconsciente de mes vers qui coulent dans les veines d'un olivier. Otage à tes supplices caprices, tu seras la plus vénérée insouciante à mon monastère sans porte blindée. Comme tout ce petit monde, tant de peines, déceptions, douleurs, déchirements dans mes voiles d'esprits. Recousant seul mon mat, vers d'autres rivages survolant l'arc et sa poussière, sous la fine pluie, grêle, neige et mes trois gouttes larmes, j'ai caressé la toile d'azur, ouvert mon trésor, un excès de charme m'était destiné de l'épave d'un roc isolé, l'irrésistible Émeraude à mon coeur. (La rapsodie de la mélodie d'une rose de sable) La voix d'un ange, dont ces ailes commencent à s'altérer me dit : je veux ton coeur que tous les plaisirs désirés ! Plus chaud que toutes flammèches ! Plus haut que toutes âmes ! Dommage que la vie ne ressemble plus à nos mêlées, dommage que le bateau a perdu la boussole de sagesse, nous sommes esclaves à ce que nous devons. Nul n'est conscient de ses pages blanches ou grises taries même de ses tombeaux cruels, seul DIEU sera juge. Je suis vraiment désolé, impossible de tout oublier, c'est dur de n'en avoir aucun souvenir. J'ai tant aimé être amnésique pour un certain moment, peux être plus longtemps, mais jamais pour tout blanchir sous le sable doré, juste pour voir si ( L'auréole d'un couché du soleil serait différent )