Du lard et du cochon - (2)
Voilà qu'un jour d'un rouge de pif,
En sortant d'un frêle esquif.
Seul maitre à bâbord et à tribord,
J'avais quitté le bord.
Pour me retrouver chez une bergère,
Qui peu cher, avait un bon derrière.
Dans la pénombre de sa bicoque,
Alors qu'elle me grignotait la cagnotte,
Je m'avalais un de ses coqs,
Cuit dans sa grosse cocotte.
Au sortir de chez elle,
Voilà ti, je croise une blonde.
Lui disant bonjour mademoiselle,
Vous êtes belle comme la Joconde.
Epanoui par ce compliment,
Elle m'offrit gentiment,
De lui complimenter poliment,
Un petit coin d'appointement.
Et finir le petit matin dans mon pieu
Homme des plus heureux
( Sous le pseudo : Philippe LEBRETON 2007 )
Postscriptum
Texte : Tous droits réservés © Jacques THORIN