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Heureux, je roulais en rêvassant, pensant encore à Claudine sans sous-vêtements.
C'est alors que tout à coup je reçus un projectile sur mon pare-brise.
Surpris, je freinai brusquement et perdis le contrôle du véhicule. Je me suis mis à zig-zager - et finis ma route contre un platane.
C'est alors qu'une pluie de projectiles commença à s'abattre sur ma voiture - qui résonnait de l'intérieur comme sous une tempête de grelons géants.
Contrairement à ce que je pensais, ce n'était pas des cailloux que l'on me lançait : non, c'était des dentiers - des vrais, qui surgissaient de je ne sais où.
Puis quelqu'un ouvrit ma porte soudainement. On me sortit du véhicule, on me projeta au sol. Une centaine de coups de canne me fit perdre connaissance.
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