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les pointes acérées de ses dents carnivoresqui sortent de sa gueule ,coriace,il a fait fort!et le café qui monte trouve dans son substratcomme des gouts de plaisir un soir de mardi gras!la soirée déguisée commence battre son pleinmais je ne suis pas prêt, pas sur que je viens!pauvre ma douce aimée qui m'attend,c'est certain!ou est mon téléphone, il faut que je l'appelle, tiens;surprenant cette odeur qui viens du cagibi,la maison est en feu, je suis seul et je rismieux vaut partir ainsi ,la mort nous souritpars je te rejoins je viens oui c'est promis!