Tristesse ne serais-tu que ma faiblesse,
Ma paresse à découvrir la sagesse,
Ma folle hérésie de refuser l'espérance,
Ou plutôt la nourris-tu d'un état expiatoire de tous mes doutes,
Des larmes versées pour mieux nourrir le terreau de mes certitudes,
Un état fertile devançant l'allégresse,
Un tournant avant de deviner l'éternité.