À la suite de l'accord dans le Nord-est du RDC

La sommet qui suit la cesse-de-feu dans la nord est du République Démocratique du Congo, tenu à Goma, la plus grande ville de la région (et malheureusement a souffrit la proximité d'un volcan active), va concentrer sur les enjeux de développement et intégration des soldats, ça c'est une très bonne nouvelle. Comme on a déjà dit, la seul solution pour les problèmes de Nord-Kivu (et Sud) est pour remédier la situation économique pour les citoyens et militaires qui occupent cette terre, brulé sou le feu de guerre perpétuel. Mais les mots de président Kabila-Kabange évoque souci avec leur sagesse.

Le président Joseph Kabila Kabange a clôturé mercredi 23 janvier à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, la Conférence sur la paix, la sécurité et le développement, dans les provinces du Nord et du Sud-Kivu en affirmant toute sa détermination à «enrayer la machine à produire les pilleurs, les violeurs de femmes et des seigneurs de guerre» et en brandissant «la justice et l'État de droit comme incontournables», tout en expliquant que «la paix ne peut naitre sans pardon» [Le Soir, 25 January 2008]

Un autre issue, moins simple, est cela de vengeance senti par les communautés divers qui ont souffrent sous la règne des armées rogues pour beaucoup des années. Malheureusement les peuple ne sent pas nécessairement la haine vers les soldats, mais vers la groupe ethnique de la armée qui les a blessé et oppressé. On peut espérer pour tribunaux et réconciliation entre les forces mililtaires, mais la réalité existe encore que cette aire multiethnique n'est pas pacifié soi-même, çela requit beaucoup de couer pour oublier les crimes commis contre un.