Après une enfilade d’arguments éculés concernant le tabac, la dernière envolée lyrique d’Attali - que seul un énarque en roue libre médicamenteuse peut produire -, sa performance rhétorique qu’il a effectuée dernièrement sur le nucléaire, Fukushima et l’Avenir de l’Humanité (rien de moins) nous projette au-delà des ceintures d’astéroïdes riches en connite ferrugineuse et en pipeaux lourds. On a littéralement laissé sur place le Capitaine Blâme au milieu des espaces intersidérants. On est bien au delà des dernières étoiles de la galaxie du totalement idiot.