Lors d'une audition devant le Sénat américain, James Stavridis, le commandant des forces de l'Otan en Europe, a expliqué que des informations du renseignement évoquaient les signes d'une présence d'Al Qaïda, voire du Hezbollah libanais, parmi l'opposition libyenne. Il a néanmoins tempéré en soulignant qu'il ne disposait pas "de détails suffisants" pour dire si cette présence était "significative ou non".