Lorsque j’entends ce prélude de Bach
Par Glenn Gould, ma raison s’envole
Vers le port du Havre et les baraques
Et les cargos lourds que l’on rafistole
Et les torchères, les grues patraques
Les citernes de gasoil....
....
J’donnerais Ray Charles, Mozart en vrac
La vie en rose, le rock’n roll
Tous ces bémols et tous ces couacs
Pour Glenn Gould dans c’prélude de Bach....