Le soleil laisse voir ses feux
Cachées sous un doux feuillage
Les gouttelettes tombantes
Ruissellent telles des billes
Qui brillent avec les âges
Pêle-mêle sur les piles
Articulations savantes
Le printemps réchauffe les cœurs
Séchant les larmes de leurs pleurs
Grande richesse promise
Insoumise incomprise
Glorieuse d’un bel amour
Sensualité des glamours
Devant cette fine beauté
Respire l’univers entier
Croyant apercevoir la paix
Sur la montagne de piété
Attendant le jour dernier
Eblouit par la vérité
Le silence se balance
L’obscurité semble murée
Se fige dans l’immensité
Le nuage, cendre de peur
Dérive, ravage sans peur
Ce grand pays qu’est le tien
Japon, tu es aussi mien
Aurore-2011