Magazine Culture

Le refus de voter comme droit de résistance à l’oppression.

Publié le 04 avril 2011 par Quiricus
Le refus de voter comme droit de résistance à l’oppression.Résister est un droit inscrit dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen : » Le but de toute institution politique est la conservation des droits naturels  et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la Liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression »Refuser de voter est considéré comme un déni de citoyenneté assimilé à de la désobéissance civique. Lorsque les choix qui vous sont offerts consistent à choisir entre : une gauche faisant une politique de droite et une droite s’orientant vers l’extrême, un centre inexistant et une extrême droite xénophobe et raciste -  Des hommes politiques faisant passer leurs intérêts personnels avant ceux de la République, des ministres trainés devant les tribunaux et qui se gracient mutuellement, le refus de voter à mon sens devient un questionnement.
Ce refus qualifié d’incivil par nombre d’individus et les moutons du système, ne pourrait il dans un cadre précis devenir un acte de résistance inscrit dans la Constitution, un droit déontologique. Pour cela, notifié par recommandé au Juge d’Instance local il deviendrait prise de position. Il suffirait que la Loi autorise ce procédé pour le prendre en compte lors du dépouillement au même titre que le vote blanc.J’entend déjà les réponses offusquées : »Mais le vote est secret ! » Oui et alors, ne peut on revendiquer haut et fort sa désapprobation pour un système qui tend à nous conduire au droit régalien.. ?

Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Quiricus 565 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte