J’espère que les Tunisiens ont eu l’occasion ,aujourd’hui, de faire leur deuil du Zaïm pour ne retenir du grand Bourguiba que son mode de penser libérateur, parce que fondamentalement critique de toute forme d’idéologie aliénante. Ainsi et sans rupture avec leur passé, ils n’auront plus besoin de Zaïm. Ne peut succéder à Bourguiba que son Peuple. La Révolution tunisienne vient d’en administrer la preuve!