Humeur poïétique partagée en intense temps de désillusoire espérance dépassée,
par Olivier Cappaert (instigateur) et T.Jolif-Maïkov (povre commentatueur) :
Massacre/$$$$$$
Hémoglobine/€€€€€€
Larmes/
Il
Il
IL
danse avec les mots
-comme avec des loups cyberradioactifs
Grâce.
Frères.
Nous.
Le poète s'empare et empoigne son arme
Le poète s'empare de son âme
Mode rafale automatique verbifiante,
découvrir l'insondable dans l'au-dedans des mots,
leurs rapports-de-rapports, leurs indicibles liens...
Aube,
Crépuscule,
Nique sa mère
Méphisto,
Toi,
Tes potes,
Ton oeuvre,
Nous te combattons
Au combat, au combat
Il se taille,
La part du lion,
Vibrations
de l'air, du son...
Il avance et bataille...
L'entendement con !
Check one two,
Je te crève,
Lucifer
Le fer, le fer,
*tranchant du verbe,
Il pose, ek-spose
ex-plose le sens
bêtement son
L'au-delà s'avance...
Vote,
Isoloir,
Trottoir,
Dépotoir,
Kalach,
...Point-barre.
Seppuku,
Slash,
Slice,
Sang,
Viscères,
...Dead.
Le silence investit ma dualité.
Je glisse et monte entre abysses et firmament.
Mon crash intimiste a bien eu lieu.
Ma charogne est épurée ; enfin désintoxiqué.
Mon cadavre asséché, dé-toxifié des mots
Affranchi des maux que je m'inflige...
Auto-noyade de l'ego...
Dans les mots-lupus trop denses, poète,danse
Danse pour dé-faire...
Vodka,
Vrillé,
Total niqué,
J’erre sans prier,
Défait,
Surfait
Crasse,
Lumière,
Amen.
L'A-men est le dire sans dé-dire,
sans superfétatoire son-sens,
le pure, ivoire,
du silence...
L'A-lcool impure l'insens
l'innocence, inverse