J’ai de la fièvre, pas de panique, quelques gestes de bon sens avant d’appeler le médecin.
La fièvre une amie à respecter !
Même fiévreux/se, je ne perds pas mes bonnes habitudes saines : du bon sens et du naturel, avant toute chose ! Au pire, j’appelle évidemment le médecin.
Le thermomètre écolo
Inquiet de me sentir « chaud », je dégaine mon thermomètre écologique « Thermo Green » lancé par le Laboratoire LBS, pour savoir où j’en suis.
Véritable innovation technologique, ce thermomètre fonctionne sans pile. Il suffit de le secouer 8 à 10 secondes pour le mettre marche avec une autonomie de 5 minutes.
En clair, pour les techno addicts : le thermomètre fonctionne par le même procédé que les lampes magnétos. Quand je le secoue cela entraîne le déplacement du piston magnétique (électroaimant) dans la chambre de combustion, provoquant une friction qui crée de l’énergie.
Écolo, il est également très économique, car il ne tombera jamais en panne. En plus, il bénéficie d’une garantie de 10 ans.
Le thermomètre « vert » pour vivre la fièvre en rose
C’est quoi la fièvre ?
Souvent considérée comme l’ennemi à abattre (40°C et c’est la panique), la fièvre est en fait une action voulue du corps pour se défendre contre une infection ou un empoisonnement, rappelle Christopher Vasey, naturopathe et auteur de « La fièvre, une amie à respecter », paru aux Éditions Jouvence.
Couper la fièvre,
c’est couper les défenses organiques.
La fièvre brûle et élimine les toxines, affaiblit les microbes par la chaleur, stimule de système immunitaire, et elle accélère le transport des lymphocytes (agents de défense) vers le lieu de l’infection. Bref, la fièvre est thérapeutique, vouloir l’abréger revient à s’opposer au processus de guérison. « Couper la fièvre, c’est couper les défenses organiques. » Bon, à partir de 39°C, en cas de douleurs, de forts maux de tête, voire de spasmes et pire de délires, là je la fait baisser.
Un guide pour dédramatiser la fièvre
Fiévreux/se,
ce que je dois faire
10 bons conseils du naturopathe Christopher Vasey :
• Me reposer, allez sieste non stop !
• Aérer la pièce régulièrement, car je rejette des déchets gazeux nocifs,
• Boire beaucoup d’eau pour remplacer ce que je perds en transpirant (détoxination), ou plus agréables à boire, les tisanes de tilleul, verveine, menthe et camomille,
• Mais plus efficace pour faire baisser la fièvre naturellement sans la couper, la tisane de saule blanc ou de reine des prés aux vertus fébrifuges.
• En plus, je peux m’envelopper les mollets d’une serviette préalablement trempée dans l’eau froide,
• Au besoin me tremper le bas du corps dans un demi-bain tiède (25°-35°C) pendant 1 à 5 minutes.
• De même, il faut (me) changer les draps et le pyjama régulièrement,
• Et me doucher à l’eau tiède.
• Jeûner aussi ça fait du bien, de toute façon, fiévreux on n’a pas grand appétit.
• Dès que la fièvre baisse, reprendre l’alimentation en commençant par des bouillons légers, du lait chaud et des fruits, puis une petite purée de pomme de terre, une bonne semoule ou des pâtes vermicelles régalera le convalescent.
Et zou, on retourne à l’école, on se remet au boulot !
• « La fièvre, une amie à respecter », 13,50 €, Éditions Jouvence. En librairie. Voire le site : www.editions-jouvence.com