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L'huile de noix du Brésil ou d'Amazonie

Publié le 15 avril 2011 par Longscheveux
Aujourd’hui, je vous présente mon huile végétale favorite depuis un an : l’huile de noix du Brésil (aussi nommée huile d’Amazonie ou encore huile de Para).
Fabrication et extraction

L'huile de noix du Brésil ou d'Amazonie

Bertholletia Excelsa


La noix du Brésil est l’un des premiers produits exporté d’Amazonie. On la trouve sur l’arbre de la variété Bertholletia Excelsa qui atteint jusqu’à trente mètres de hauteur. Il produit de gros fruits pouvant peser jusqu’à trois kilos. Dans leurs baies, l’on trouve plusieurs graines semblables à des coques qui contiennent entre 12 et 18 noix. Très riches en graisses, ces dernières contiennent jusqu’à 75 % d’huile.
Pour extraire l’huile, les noix sont d’abord séchées et déshydratées afin de préserver leur conservation, puis envoyées en France pour l’extraction. Elle a lieu à froid, par une seule pression.  Composition et propriétés 
L'huile de noix du Brésil ou d'Amazonie

L’huile de noix du Brésil est riche en sélénium, un antioxydant qui préserve l’élasticité de la peau et favorise le renouvellement cellulaire.
Plus de la moitié de ses acides gras insaturés (41 % sur 70%) sont des acides linoléiques, qui interviennent dans la fabrication des membranes cellulaires.
On y trouve également beaucoup de vitamine F qui protège contre le dessèchement et les irritations. Elle fortifie les cheveux et les rend moins cassants.
Enfin, l’huile de noix d’Amazonie est riche en vitamine E, un conservateur naturel qui stimule la croissance des cheveux en activant la microcirculation des bulbes. La présence de sélénium lui permet de conserver une activité optimale.
Avis
Ayant testé de nombreuses huiles végétales pour mes cheveux, tant en shampoings, qu’en bains, masques ou soins d’entretient pour les pointes, l’huile de noix du Brésil demeure ma favorite. Son odeur agréable évoque la noisette. Transparente, elle est dite « sèche », c'est-à-dire qu’elle ne laisse pas véritablement de film gras et pénètre rapidement. On peut donc l’utiliser facilement, la nuit par exemple, sans besoin de laver immédiatement les cheveux, puisque au matin, tout est absorbé. Je l’utilise ainsi régulièrement afin de lutter contre les fourches : les résultats sont probants. L’huile de coco ou de camélia étaient trop légères en comparaison. Celle d’Amazonie devient un compromis excellent afin d’obtenir un ingrédient très nourrissant, sans les inconvénients du karité (difficultés de rinçages, effet poisseux…).
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