L’autre soir Daniel Costantini expliquait comment il avait fait entrer Jackson Richardson, la star du handball français, en équipe de France.
Le joueur n’avait aucune méthode et semblait vouloir jouer seul. Ce qui rendait fous ses coéquipiers. Daniel Costantini est sur le point de l’exclure lorsqu’il découvre que l’équipe adverse est encore plus désorientée que l’équipe de France.
Non seulement le « pouvoir est en bas », mais le talent y est aussi. Le dirigeant comme l’entraîneur doit bâtir sa stratégie sur les compétences uniques de son organisation, et, surtout, ne pas la faire entrer dans le carcan des « bonnes pratiques » imitées de l’extérieur. C'est d'ailleurs l’art de l’entrepreneur.