Ce n’est un secret pour personne, la guerre des sièges du Parlement européen empoisonne le traintrain de l’Union depuis belle lurette. Un problème dérisoire, avouons-le, face à l’état général de l’UE.
La mauvaise humeur des élus ‘nomades’ et de leurs collaborateurs trouvera-t-elle un jour une issue ? Rien n‘est moins sûr, même si « impossible n’est pas français ».
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Strasbourg/Bruxelles, une guéguerre qui n’en finit plus Stéphanie Carion – La Libre Belgique