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Article d'une brûlante actualité putassière surfant sur le mariage de Kate et William (hiiii) pour s'attirer des visiteurs

Publié le 29 avril 2011 par Francisbf

Aujourd'hui, une fois n'est pas coutume, je fais fi des promesses que je m'étais faites de ne jamais suivre l'actualité sur ce blog, et de ne surtout pas parler people, parce que bon, quand même quoi, c'est le mariage de William et Kate, hiiiii.

Non, en fait, je me suis rendu compte après coup que cet article pouvait vaguement faire croire que l'actualité était au coeur de ce blog, et que ce serait trop bête de rater l'occasion, alors hop, hein. Putasserie, quand tu nous tiens, ho oui, tiens-la bien.

Voilà donc, pour vous, aujourd'hui, ce récit d'une révélation. Une illumination, presque. Mais pas tout à fait quand même.

Allons-y.

Aujourd'hui, j'ai eu une révélation.

J'ai compris d'où venait une chanson. C'est mignon.

Enfin, je crois. Je n'en ai absolument pas la moindre certitude, c'est ce qui fait la beauté de la chose. N'empêche qu'il y a quand même des trucs qui semblent pointer vers une possible compréhension d'un foutage de gueule que jusqu'ici, je n'avais pas compris, et j'aime bien comprendre les blagues.

Aujourd'hui, donc, je farfouillais sur internet, et je tombai sur la première chanson cachée de l'histoire du rock (c'est en gras sur wikipedia) : Her Majesty, à la fin d'un disque de 1969 d'un groupe anglais qui s'appelle les Beatles (plus précisément, de Paul MacCartney).

La voici :

Pour ceux qui ont du mal avec les marmottages incompréhensibles de Paulo, voilà ce qu'il dit :

"Her Majesty's a pretty nice girl
Someday I'm going to make her mine, oh yeah,
Someday I'm going to make her mine."

Je ne vous traduirai pas, c'est sale.

Et là, bon sang de bois, je comprends enfin une chanson que nous passait mon papa (je vous ai déjà parlé des chansons que nous passait mon papa, quand j'étais petit, en voiture ?), d'un disque sorti en 1971. Ma maman n'aimait pas trop qu'on écoute ça, parce que derrière, on se voyait forcés de brailler « Pompiers, pompiers, j'ai des pompiers dans mon zizi » et ça la mettait affreusement mal à l'aise.

Mais sinon, dans ce disque, il y avait aussi cette chanson. Qui commence par les premiers pas (enfin, façon de parler) d'Arthur H dans le showbiz, mais c'est pas ça l'important. L'important, c'est que j'ai enfin compris d'où vient cette chanson, et surtout la toute fin, qui m'intriguait depuis que j'avais l'âge de comprendre les paroles, vu que ça me paraissait gratuit.

Me voilà tout content.

Merci internet !


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