C'est quand même Juan Saez qui nous envoie le truc, il est chilien, mais il est surtout établi à Montréal qui sera notre future maison et surtout c'est notre pote! Alors bon, on peut toujours ouvrir l’e-mail, ça ne coûte rien... Et puis, faut le signaler, il a du goût notre petit burrito d'amour. C'est une sorte de hipster qui roule les « r ». Donc, on fait confiance avec un grand « C ».
PUTAIN! Pourquoi, on a hésité? TUERIE.
Mais c'est surtout dans le vestiaire masculin qu'on irait bien piocher un maximum de pièces, autant que les maris qui les portent (Caramba ! Les Chiliens dégagent du sexe par tous les pores). Entre dandy funny ou bad boy décalé, le Chili n'a pas fait son choix et on en bave encore. Définitivement, on sera fiers d'aller à la prochaine. Et puis, c'est tellement commun de squatter les front row de Paris, New-York ou Milan ! Vous vous rendez compte à quel point c'est hip d'annoncer : « Non, chéri, le week-end prochain, je peux pas venir à ta fête Chanel à Paris, je suis guest à la fashion week de Santiago du Chili ! ». On bande déjà.
La fashion week de Santiago ? Une Grosse révolution qui nous a fortement impressionnés. Affaire... ou exemple à suivre ?