Le rendez-vous est à midi, à Place des Fêtes, pour se joindre ensuite à la manif unitaire (14h30, République).
Les mauvais jours finiront…
Depuis 2009, nous payons les conséquences de la crise des requins de la finance. L’argent public a servi à renflouer les banques, qui demandent maintenant des comptes aux États. Grèce, Irlande, Portugal, à qui le tour ? Les États aux ordres de la finance (FMI, Banque mondiale, etc.) imposent la réduction des déficits publics.
Pour eux, le capitalisme c’est :
- s’accaparer les richesses produites par les travailleurs (salaires astronomiques, parachutes dorés, actionnaires, CAC 40…) ;
- privatiser le bien public à leur profit ;
- créer une crise qui les enrichit davantage ;
- faire de l’argent vite en occultant les conséquences à long terme sur l’environnement et les populations.
Pour nous, le capitalisme c’est :
- la précarité ;
- les bas salaires ;
- les conditions de travail dégradées ;
- l’augmentation du prix des biens indispensables (alimentation, loyer, énergies…)
- la casse de l’éducation, de la santé, des transports, des communications…
Contre l’injustice sociale, le syndicat, au cœur de la production des richesses et des biens, est l’arme des travailleurs.
Pour le partage des richesses entre celles et ceux qui les produisent, le CNT revendique :
- l’augmentation des salaires et des minima sociaux ;
- du travail pour tous ;
- l’amélioration des conditions de travail (dignité au travail)
Pour un syndicalisme de lutte des classes et de transformation sociale, la CNT revendique :
- la défense et l’amélioration des secteurs publics au service de tous ;
- l’égalité des droits : hommes/femmes, français/immigrés, même patron, même combat !
- l’accès pour tous au logement, à la santé, à l’éducation, à des conditions de vie décentes ;
- le respect de l’environnement et des ressources naturelles.
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CNT, Union régionale parisienne :
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble