LA DAME EN NOIR
La DAME en NOIR
Lorsque sur mon écran noir
Mes yeux ont croisés ses yeux noirs
Mon âme a caressé ses cheveux noirs
Depuis ce jour là je ne peux y croire,
Ma tête me cogne et broie du noir
J’ai l’âme plongée dans le noir.
Pourrais-je enfin du bout des doigts
Caresser d’émoi son destin
Laisser exploser ma joie
De lui offrir mes câlins libertins
Le froid glacial de l’hiver
S’empare de mon espoir,
Celui de l’attendre pour la voir
L’aimer une fois d’amour pour y croire
Mon cœur bat très fort du matin au soir
L’aimerais je d’un amoureux désespoir ?
Pourrais-je enfin du bout des doigts
Caresser d’émoi son destin
Laisser exploser ma joie
De lui offrir mes câlins libertins
L’océan pervers qui nous sépare
Noie les chemins de notre histoire
Nos mains cherchent à se vouloir
En sensations vraies, pas illusoires
Nos yeux désirent croisés et apercevoir
Leur regard se troubler de leur pouvoir.
Pourrais-je enfin du bout des doigts
Caresser d’émoi son destin
Laisser exploser ma joie
De lui offrir mes câlins libertins
Lui dédier ma fougue tumultueuse
D’amour et de caresses respectueuses
Mes mains veulent sentir la voluptueuse
Douceur de son corps à la Chaleur mielleuse
Mon corps, se bercer de ses étreintes cajoleuses.
Laisser ses mains courir légères et racoleuses.
Pourrais-je enfin du bout des doigts
Caresser d’émoi son destin
Laisser exploser ma joie
De lui offrir mes câlins libertins
Les lèvres de ma bouche lui proposent
Délicieusement de boire les saveurs précieuses
De sa poitrine généreuse et pulpeuse,
Ma langue ensorceleuse coure joyeuse
Ailleurs partout sur sa peau rieuse
Ma fougue pour toi est devenue religieuse
Georges Adrien PARADIS le 19 novembre 2007 à 11h00