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Déja le 16 mai, et pas un chapeau de vendu....

Publié le 16 mai 2011 par Marigotine

 

 Serial grimpeur.

   Serais tu un peu givré Mec?

<b></div>Serial grimpeur</b>. On dit de lui qu’il est un «grimpeur de l’extrême», toujours en quête de défis à relever. Cette fois, l’alpiniste allemand Robert Jasper s’est confronté à un surplomb glacé d’Oeschinen, près de Berne (Suisse). L’un des plus techniques à franchir. L’un des plus dangereux aussi. À 43 ans, l’alpiniste allemand Robert Jasper a déjà failli perdre la vie à plusieurs reprises. À ses côtés pour réaliser cette incroyable image, un autre grand de l’escalade: Robert Bosch. Depuis des années, ce photographe parcourt le monde en quête des plus hauts sommets à gravir et des voies d’accès les plus difficiles. Dans les Alpes, comme dans l’Himalaya ou l’Antarctique, il a accompagné les plus grands. Serial grimpeur. On dit de lui qu’il est un «grimpeur de l’extrême», toujours en quête de défis à relever. Cette fois, l’alpiniste allemand Robert Jasper s’est confronté à un surplomb glacé d’Oeschinen, près de Berne (Suisse). L’un des plus techniques à franchir. L’un des plus dangereux aussi. À 43 ans, l’alpiniste allemand Robert Jasper a déjà failli perdre la vie à plusieurs reprises. À ses côtés pour réaliser cette incroyable image, un autre grand de l’escalade: Robert Bosch. Depuis des années, ce photographe parcourt le monde en quête des plus hauts sommets à gravir et des voies d’accès les plus difficiles. Dans les Alpes, comme dans l’Himalaya ou l’Antarctique, il a accompagné les plus grands. " title="Déja le 16 mai, et pas un chapeau de vendu...." />Serial grimpeur. On dit de lui qu’il est un «grimpeur de l’extrême», toujours en quête de défis à relever. Cette fois, l’alpiniste allemand Robert Jasper s’est confronté à un surplomb glacé d’Oeschinen, près de Berne (Suisse). L’un des plus techniques à franchir. L’un des plus dangereux aussi. À 43 ans, l’alpiniste allemand Robert Jasper a déjà failli perdre la vie à plusieurs reprises. À ses côtés pour réaliser cette incroyable image, un autre grand de l’escalade: Robert Bosch. Depuis des années, ce photographe parcourt le monde en quête des plus hauts sommets à gravir et des voies d’accès les plus difficiles. Dans les Alpes, comme dans l’Himalaya ou l’Antarctique, il a accompagné les plus grands. " border="0" />  On dit de lui qu’il est un «grimpeur de l’extrême», toujours en quête de défis à relever. Cette fois, l’alpiniste allemand Robert Jasper s’est confronté à un surplomb glacé d’Oeschinen, près de Berne (Suisse). L’un des plus techniques à franchir. L’un des plus dangereux aussi. À 43 ans, l’alpiniste allemand Robert Jasper a déjà failli perdre la vie à plusieurs reprises. À ses côtés pour réaliser cette incroyable image, un autre grand de l’escalade: Robert Bosch. Depuis des années, ce photographe parcourt le monde en quête des plus hauts sommets à gravir et des voies d’accès les plus difficiles. Dans les Alpes, comme dans l’Himalaya ou l’Antarctique, il a accompagné les plus grands. (Robert Bosch/BARCROFTMEDIA/ABACA) Mea culpa.      Radioactivité: ou le ridicule d'un pardon.!.                          ça va certainement les aider....
<b></div>Mea culpa</b>. « Je m’excuse de tout mon cœur. Nous ferons tout notre possible pour que vous puissiez rentrer chez vous. »Agenouillés devant les habitants du village de Namie, qui vivent dans un gymnase depuis la catastrophe de Fukushima Daiichi, le 11 mars dernier, le PDG de Tokyo Electric Power Company (Tepco), Masataka Shimizu (troisième en partant de la droite) et des membres de l’équipe dirigeante de l’opérateur de la centrale nucléaire, ont présenté publiquement leurs plus plates excuses le 5mai dernier. Sous pression, Tepco n’en finit pas de faire face aux critiques de l’ensemble de la société japonaise, qui découvre chaque jour davantage les dysfonctionnements d’un système qu’elle croyait infaillible. Mea culpa. « Je m’excuse de tout mon cœur. Nous ferons tout notre possible pour que vous puissiez rentrer chez vous. »Agenouillés devant les habitants du village de Namie, qui vivent dans un gymnase depuis la catastrophe de Fukushima Daiichi, le 11 mars dernier, le PDG de Tokyo Electric Power Company (Tepco), Masataka Shimizu (troisième en partant de la droite) et des membres de l’équipe dirigeante de l’opérateur de la centrale nucléaire, ont présenté publiquement leurs plus plates excuses le 5mai dernier. Sous pression, Tepco n’en finit pas de faire face aux critiques de l’ensemble de la société japonaise, qui découvre chaque jour davantage les dysfonctionnements d’un système qu’elle croyait infaillible. " title="Déja le 16 mai, et pas un chapeau de vendu...." />Mea culpa. « Je m’excuse de tout mon cœur. Nous ferons tout notre possible pour que vous puissiez rentrer chez vous. »Agenouillés devant les habitants du village de Namie, qui vivent dans un gymnase depuis la catastrophe de Fukushima Daiichi, le 11 mars dernier, le PDG de Tokyo Electric Power Company (Tepco), Masataka Shimizu (troisième en partant de la droite) et des membres de l’équipe dirigeante de l’opérateur de la centrale nucléaire, ont présenté publiquement leurs plus plates excuses le 5mai dernier. Sous pression, Tepco n’en finit pas de faire face aux critiques de l’ensemble de la société japonaise, qui découvre chaque jour davantage les dysfonctionnements d’un système qu’elle croyait infaillible. " border="0" />  « Je m’excuse de tout mon cœur. Nous ferons tout notre possible pour que vous puissiez rentrer chez vous. »Agenouillés devant les habitants du village de Namie, qui vivent dans un gymnase depuis la catastrophe de Fukushima Daiichi, le 11 mars dernier, le PDG de Tokyo Electric Power Company (Tepco), Masataka Shimizu (troisième en partant de la droite) et des membres de l’équipe dirigeante de l’opérateur de la centrale nucléaire, ont présenté publiquement leurs plus plates excuses le 5mai dernier. Sous pression, Tepco n’en finit pas de faire face aux critiques de l’ensemble de la société japonaise, qui découvre chaque jour davantage les dysfonctionnements d’un système qu’elle croyait infaillible. (Kyodo News/AP/SIPA) Quoi ma gueule?     En surface  un caillou à fleur d'eau.                   En dessous un "graillou" à l'affût...   Bein quoi! j'attends mon dentiste!
<b></div>Quoi ma gueule?</b> Avec un peu d’imagination, on pourrait le voir sourire entre deux eaux ou entre deux proies. À demi immergé, cet alligator de Floride (<i>Alligator mississippiensis</i>) est à l’affût. Capable de rester immobile pendant des heures, ce reptile peut atteindre jusqu’à6mètres de long. Il affectionne particulièrement les eaux douces marécageuses, mais ne dédaigne pas les rivières, les lacs et même les eaux saumâtres. On dit que sa mâchoire est l’une des plus puissantes du règne animal et, selon les croyances populaires, <i>Alligator mississippiensis</i> serait un mangeur d’hommes. En fait, il n’en est rien. Le saurien préfère de très loin les tortues, les petits mammifères, les oiseaux et les autres reptiles. Quoi ma gueule? Avec un peu d’imagination, on pourrait le voir sourire entre deux eaux ou entre deux proies. À demi immergé, cet alligator de Floride (Alligator mississippiensis) est à l’affût. Capable de rester immobile pendant des heures, ce reptile peut atteindre jusqu’à6mètres de long. Il affectionne particulièrement les eaux douces marécageuses, mais ne dédaigne pas les rivières, les lacs et même les eaux saumâtres. On dit que sa mâchoire est l’une des plus puissantes du règne animal et, selon les croyances populaires, Alligator mississippiensis serait un mangeur d’hommes. En fait, il n’en est rien. Le saurien préfère de très loin les tortues, les petits mammifères, les oiseaux et les autres reptiles. " title="Déja le 16 mai, et pas un chapeau de vendu...." />Quoi ma gueule? Avec un peu d’imagination, on pourrait le voir sourire entre deux eaux ou entre deux proies. À demi immergé, cet alligator de Floride (Alligator mississippiensis) est à l’affût. Capable de rester immobile pendant des heures, ce reptile peut atteindre jusqu’à6mètres de long. Il affectionne particulièrement les eaux douces marécageuses, mais ne dédaigne pas les rivières, les lacs et même les eaux saumâtres. On dit que sa mâchoire est l’une des plus puissantes du règne animal et, selon les croyances populaires, Alligator mississippiensis serait un mangeur d’hommes. En fait, il n’en est rien. Le saurien préfère de très loin les tortues, les petits mammifères, les oiseaux et les autres reptiles. " border="0" />  Avec un peu d’imagination, on pourrait le voir sourire entre deux eaux ou entre deux proies. À demi immergé, cet alligator de Floride (Alligator mississippiensis) est à l’affût. Capable de rester immobile pendant des heures, ce reptile peut atteindre jusqu’à6mètres de long. Il affectionne particulièrement les eaux douces marécageuses, mais ne dédaigne pas les rivières, les lacs et même les eaux saumâtres. On dit que sa mâchoire est l’une des plus puissantes du règne animal et, selon les croyances populaires, Alligator mississippiensis serait un mangeur d’hommes. En fait, il n’en est rien. Le saurien préfère de très loin les tortues, les petits mammifères, les oiseaux et les autres reptiles. (Perrine Doug/SUNSET) Inondations    Parking "aquatique"      Mississippi, rend leur la terre ferme....
<b></div>Inondations</b>. Le fleuve Mississippi, qui irrigue le centre des États-Unis du nord au sud, a gonflé ces derniers jours pour atteindre la largeur record de 4,8 km, depuis lundi 10 mai, provoquant des inondations dans les villes situées sur ses rives, dont Memphis dans l'État du Tennessee . Certains quartiers de cette ville sont entièrement sous les eaux, comme ici, sur ce parking automobile.Inondations. Le fleuve Mississippi, qui irrigue le centre des États-Unis du nord au sud, a gonflé ces derniers jours pour atteindre la largeur record de 4,8 km, depuis lundi 10 mai, provoquant des inondations dans les villes situées sur ses rives, dont Memphis dans l'État du Tennessee . Certains quartiers de cette ville sont entièrement sous les eaux, comme ici, sur ce parking automobile." title="Déja le 16 mai, et pas un chapeau de vendu...." />Inondations. Le fleuve Mississippi, qui irrigue le centre des États-Unis du nord au sud, a gonflé ces derniers jours pour atteindre la largeur record de 4,8 km, depuis lundi 10 mai, provoquant des inondations dans les villes situées sur ses rives, dont Memphis dans l'État du Tennessee . Certains quartiers de cette ville sont entièrement sous les eaux, comme ici, sur ce parking automobile." border="0" />  Le fleuve Mississippi, qui irrigue le centre des États-Unis du nord au sud, a gonflé ces derniers jours pour atteindre la largeur record de 4,8 km, depuis lundi 10 mai, provoquant des inondations dans les villes situées sur ses rives, dont Memphis dans l'État du Tennessee . Certains quartiers de cette ville sont entièrement sous les eaux, comme ici, sur ce parking automobile. (Mike Brown/AP/SIPA)   Une papamobile flottante.   Benoît, ça n'a pas l'air de te faire "gondoler" toi non plus...
<b></div>Une gondole en guise de papamobile</b>. Un trajet en gondole est une obligation à laquelle s'étaient volontiers soumis Paul VI et Jean Paul II, en 1972 et en 1985. Benoît XVI n'y a pas échappé, dimanche 8 mai, pour traverser le Grand Canal, à Venise. C’est une gondole ancienne et historique appartenant à la ville, la «Batolina», qui a été retenue pour transporter le souverain pontife sur les canaux. Une gondole en guise de papamobile. Un trajet en gondole est une obligation à laquelle s'étaient volontiers soumis Paul VI et Jean Paul II, en 1972 et en 1985. Benoît XVI n'y a pas échappé, dimanche 8 mai, pour traverser le Grand Canal, à Venise. C’est une gondole ancienne et historique appartenant à la ville, la «Batolina», qui a été retenue pour transporter le souverain pontife sur les canaux. " title="Déja le 16 mai, et pas un chapeau de vendu...." />Une gondole en guise de papamobile. Un trajet en gondole est une obligation à laquelle s'étaient volontiers soumis Paul VI et Jean Paul II, en 1972 et en 1985. Benoît XVI n'y a pas échappé, dimanche 8 mai, pour traverser le Grand Canal, à Venise. C’est une gondole ancienne et historique appartenant à la ville, la «Batolina», qui a été retenue pour transporter le souverain pontife sur les canaux. " border="0" /> . Un trajet en gondole est une obligation à laquelle s'étaient volontiers soumis Paul VI et Jean Paul II, en 1972 et en 1985. Benoît XVI n'y a pas échappé, dimanche 8 mai, pour traverser le Grand Canal, à Venise. C’est une gondole ancienne et historique appartenant à la ville, la «Batolina», qui a été retenue pour transporter le souverain pontife sur les canaux. (Vincenzo Pinto/AFP) Immortel en nos cœurs.       Jean Paul II, la béatification d'un "Saint" Sauveur...
<b></div>Immortel en nos cœurs</b>. Ce petit garçon polonais ne s’y trompe pas en jouant avec l’image de Jean-Paul II comme s’il était encore parmi nous. Décédé en avril 2005 et béatifié dimanche dernier par son successeur Benoît XVI, Karol Wojtyla bénéficie en effet d’une popularité que rien ne semble pouvoir démentir. Aucun pape avant lui n’avait été aussi proche de ses ouailles. En vingt-six ans de pontificat, cet infatigable évangélisateur était parvenu à visiter 127 pays, permettant ainsi à des millions de fidèles de l’approcher personnellement. Et c’était vrai en Pologne plus qu’ailleurs, puisqu’il s’était rendu neuf fois dans son pays natal, tout en contribuant puissamment à le délivrer du communisme. Immortel en nos cœurs. Ce petit garçon polonais ne s’y trompe pas en jouant avec l’image de Jean-Paul II comme s’il était encore parmi nous. Décédé en avril 2005 et béatifié dimanche dernier par son successeur Benoît XVI, Karol Wojtyla bénéficie en effet d’une popularité que rien ne semble pouvoir démentir. Aucun pape avant lui n’avait été aussi proche de ses ouailles. En vingt-six ans de pontificat, cet infatigable évangélisateur était parvenu à visiter 127 pays, permettant ainsi à des millions de fidèles de l’approcher personnellement. Et c’était vrai en Pologne plus qu’ailleurs, puisqu’il s’était rendu neuf fois dans son pays natal, tout en contribuant puissamment à le délivrer du communisme. " title="Déja le 16 mai, et pas un chapeau de vendu...." />Immortel en nos cœurs. Ce petit garçon polonais ne s’y trompe pas en jouant avec l’image de Jean-Paul II comme s’il était encore parmi nous. Décédé en avril 2005 et béatifié dimanche dernier par son successeur Benoît XVI, Karol Wojtyla bénéficie en effet d’une popularité que rien ne semble pouvoir démentir. Aucun pape avant lui n’avait été aussi proche de ses ouailles. En vingt-six ans de pontificat, cet infatigable évangélisateur était parvenu à visiter 127 pays, permettant ainsi à des millions de fidèles de l’approcher personnellement. Et c’était vrai en Pologne plus qu’ailleurs, puisqu’il s’était rendu neuf fois dans son pays natal, tout en contribuant puissamment à le délivrer du communisme. " border="0" /> . Ce petit garçon polonais ne s’y trompe pas en jouant avec l’image de Jean-Paul II comme s’il était encore parmi nous. Décédé en avril 2005 et béatifié dimanche dernier par son successeur Benoît XVI, Karol Wojtyla bénéficie en effet d’une popularité que rien ne semble pouvoir démentir. Aucun pape avant lui n’avait été aussi proche de ses ouailles. En vingt-six ans de pontificat, cet infatigable évangélisateur était parvenu à visiter 127 pays, permettant ainsi à des millions de fidèles de l’approcher personnellement. Et c’était vrai en Pologne plus qu’ailleurs, puisqu’il s’était rendu neuf fois dans son pays natal, tout en contribuant puissamment à le délivrer du communisme. (Peter Andrews/REUTERS) Marigotine

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