A l’heure de l’information mondialisée en temps réel, me voilà totalement dépassé… Je viens de faire une recherche de tweets #DSK, en sortant du boulot, et ceux ci défilent à une vitesse tellement hallucinante dans ma fenêtre de recherche que je n’arrive même pas à les lire… C’est ballot, hein ! Combien peut-il y en avoir à la seconde ? Je n’ai jamais vu ça depuis que j’utilise cet instrument, pas même lors de la mort de Ben Laden… époustouflant.
Bien sûr, on peut faire un arrêt sur image avec le curseur (de droite, le curseur, sur mon tweetDeck…), mais je ne sais pas si cela est très utile, dans la mesure où se côtoient dans cet espace si virtuel vraiment tout et n’importe quoi… Bien sûr, si je connaissais le compte tweeter de quelques journalistes sérieux introduits dans la salle, ce serait différent, mais comme tel n’est pas le cas… Autant chercher une aiguille dans une botte de foin ! Tout ce que j’ai réussi à en tirer, c’est qu’ apparemment la juge aurait refusé sa liberté sous caution. Autant aller voir sur des sites plus sérieux pour en avoir le cœur net. Marre de ces Charognards… (comme je partage ton avis, Romain !), de ces gauloiseries et autres sarcasmes de bas étage qui me répugnent.
Sur le site de France-Info, le fait se confirme :
« Dominique Strauss-Kahn comparaissait cet après-midi devant un tribunal de New York pour tentative de viol. Ses avocats ont proposé un million de dollars de caution. Mais cette proposition a été rejetée par la juge qui a décidé le maintien en détention du directeur du Fonds monétaire international. Au moins jusqu’à vendredi prochain, date fixée pour une prochaine séance. » (source)
Nous n’en saurons donc pas plus ce soir. Tout le reste est affabulation, rumeurs, et billevesées. La suite au prochain épisode… « Chers auditeurs, bonsoir ».
Post-scriptum : Bernard Debré, tu ferais mieux de te la fermer…