La hausse des prix enregistrée ces dernières années est semble-t-il d’avantage le fruit d’un manque de biens disponibles qu’une résultante de la spéculation. Cette analyse va a l’encontre de l’idée de « bulle « avancée par le Centre d'analyse stratégique, organisme dépendant du Premier ministre. Ainsi, en France, les tarifs des logements anciens auraient augmenté de 141% entre 1998 et 2010. Soit une hausse trois fois plus importante que celle des revenus (+43%).
Une crise quasiment oubliée
La chute de la dernière crise n’a semble-t-il pas interrompue la flambée des prix. Ainsi, après une baisse de 7% enregistrée en 2009, l’augmentation de 6,3% l’année passée a quasiment effacé le recul. Un ralentissement qui n’a certes pas handicapé le volume des transactions. Pour les futurs investisseurs susceptibles de signer un prêt immobilier, le panorama ne semble pas prolifique. Heureusement que le taux des crédits est encore intéressant !