Si donc vous avez suivi l'exposé des posts précédents vous avez compris des fondamentaux très importants :
- Selon la vitesse et la direction de l'observateur, ce qui peut être défini comme un enchaînement causal pour l'un peut-être défini comme un seul objet conceptuel à l'autre.
- Selon la vitesse et la direction de l'observateur ce qui peut-être défini comme des objets conceptuels séparés pour l'un peut être défini en un enchaînement causal à l'autre.
- Selon la vitesse et la direction de l'observateur le rapport à la causalité est un pur choix decriptif qui se justifie mais n'a pas de réalité absolue.
- Selon la vitesse et la direction de l'observateur les échelles spatio-temporelles conceptuelles et causales sont des choix liés à des observations cycliques dans l'espace pour les concepts, et dans le temps pour la causalité, dont la fréquence pour l'un est un espacement pour l'autre.
Il n'y a donc pas de réalité objective à théoriser, mais des théories qui ne sont valables que de façon limitée dans l'espace-temps, et dont l'echelle descriptive maximale et minimale sont liées à la durée de vie de l'observateur, et à la somme des informations qu'il a accumulée.
Il n'y a pas d'observateur, il y a un flux d'observations qui se transmet de proche en proche.
Il n'y a pas de flux d'information, il n'y a qu'une pure connaissance interdépendante.
L'intégrale du chemin détermine la connaissance.