[Souvenir de Gamer] Boulder Dash sur Amstrad CPC

En ce moment, je suis un peu en panne d’inspiration. Non pas que je n’arrive plus à écrire, mais j’ai un peu plus de mal à trouver des sujets qui m’intéressent beaucoup. Certes je fais des tests, je relais des communiqué, tout ça, mais je n’ai pas envi de perdre de vu ce pour quoi j’avais ouvert le blog au départ : Ecrire sur ce que j’aime. Et comme chacun sais, je suis un passionné de jeux vidéo, de cinéma et de séries télévisées. Je vais donc consacrer une petite série d’article sur les jeux, film ou séries qui ont marqués ma petite vie. Et, aujourd’hui, je vais commencer par  le premier titre auquel j’ai joué dans toute ma carrière de gamer : Boulder Dash.

La première fois que j’ai joué à Boulder Dash, je devais avoir 5 ou 6 ans je pense et c’était sur Amstrad CPC. Mes parents me disent encore qu’à l’époque, je ne savais ni lire ni écrire et pourtant je savais taper «RUN » suivi du nom du jeu. Bien sûr, ce n’était pas le seul jeu auquel je jouais puisque il y avait  également Barbarian (j’y jouais contre un joueur 2 inexistant et je ne faisais que lui couper la tête) ou encore Double Dragon, mais c’est vraiment Boulder Dash qui m’a le plus marqué. Le principe du jeu est assez simple. On contrôle un petit bonhomme qui creuse des tunnels afin de récupérer tous les diamants du niveau.  Bien sûr, chaque niveau regorge de pièges et il faudra éviter de se faire écraser par les pierres sous lesquelles on passe ou encore de se faire toucher par les ennemis. Si cela peut paraître simple au départ mais plus on avance, plus la difficulté grandie et au bout d’un moment, les niveaux deviennent complètement infaisables. Du moins pour une enfant de moins de dix ans. Bien évidemment, beaucoup de suite à Boulder Dash ont vu le jour par la suite mais aucun n’a vraiment réussi à égaler l’œuvre originale. Toujours est-il que c’est un titre qui gagne vraiment à être connu et ce, même s’il a plus de 25 ans. En tout cas, il restera toujours dans mon cœur comme étant mon plus vieux souvenir vidéo-ludique et ça, ça n’a pas de prix.