Troussons Jean-François Kahn la soubrette du machisme

Cette sale affaire DSK est révélatrice du comportement indécent de certains analystes. Il y a un gros vent qui agite le caleçon de Jean-François Kahn! Il s’est odieusement lâché! Il a révélé son inconscient machiste totalement débridé en rejetant des valeurs aussi simples que le respect de l’autre ou la lutte contre la brutalité et la domination sociale et sexuelle. « le troussage d'une domestique » montre non seulement son mépris pour les classes sociales populaires mais traduit également sa confusion entre viol et simple badinage amoureux. Réduire la victime à son rang social est indigne: jugez par vous-même l’extrait de l’exploit Kanhien!

J.-F. Kahn : Je suis certain, enfin pratiquement certain, qu’il n’y a pas eu une tentative violente de viol, je ne crois pas, ça, je connais le personnage, je ne le pense pas. Qu’il y ait eu une imprudence on peut pas le… (rire gourmand), j’sais pas comment dire, un troussage,

A.-G. Slama : il appelait ça une erreur de jugement (gloussements).

J.-F. Kahn : que y ait un troussage, euh, de domestique, enfin, j’veux dire, c’qui est pas bien, mais, voilà, c’est une impression.

Et, pour ceux qui veulent poursuivre le voyage dans la libido sociale du journaliste il leur suffit de cliquer le lien qui suit:

Jean-François Kahn de signifier qu‘il existe plusieurs sortes de viols. En doutiez-vous? Il existe des « viols violents » ce qui nous entraine à penser par opposition contrastée qu’il en existe des «　doux　», «　 tout doux, gentils　» romantiques jupons relevés en forme de «　troussage　» consentant! Troussage de soubrette avec plumeau comme chez Molière, Feydeau ou comédies de boulevard. Femme de chambre dépravée ou programmée socialement dans son infériorité pour le plaisir du troussage du mâle en mal de rut. C’est cela la soubrette que l’on trousse… Pauvre Jean-François Kahn dont l’univers des rapports sexuels se partage entre Lady Chaterley et son domestique bien monté, entre baronnes bonnes à violer et soubrettes à trousser. Un monde de parfaites salopes...