Semaine chargée à Montpellier. Pas de pause, pas de temps pour tuer le temps. Et puis le hasard d’une absence, une petite heure qui se dégage fort inopinément.
Alors je mets le nez dehors, je marche un peu, marre de rester assis toute la journée !
Des immeubles, du béton, de la ferraille, un dépôt de tramways, la ville qui pousse un peu partout, qui oublie çà et là des lambeaux de vieilles vignes, de prés envahis de « mauvaise » herbe, une végétation anarchique en sursis, encerclée, menacée.
Et puis je tombe sur un espace qui m’intrigue : de petites…