Si une extension non désolidarisée est créée, la réglementation impose de ne pas aggraver la vulnérabilité de la structure existante c'est-à-dire de l'ensemble des bâtiments en bande.
De plus, pour une habitation individuelle de catégorie II, si l'extension entraîne la création de 30% de SHON supplémentaire (voire de 20% dans certains cas), l'ensemble des bâtiments, dont le bâtiment mitoyen, doivent pouvoir répondre à un certain niveau de sollicitation défini dans la réglementation.
Créer un joint de fractionnement sismique entre l'extension et le bâtiment existant permet de s'affranchir d'obligations sur la structure ancienne. L'extension est alors dimensionnée comme une structure neuve.