Les sondages en chute libre et le mécontentement affiché des élus UMP en vue des élections municipales qui pourraient prendre l’allure d’un premier vote sanction, ont obligé Nicolas Sarkozy a réagir. A un mois du premier tour (9 mars), il multiplie les signaux envers son électorat et joue beaucoup plus profil bas.
Taxis : le gouvernement abandonne la réforme Attali
LE MONDE | 07.02.08
Nicolas Sarkozy donne des gages à ses électeurs mécontents
LE MONDE | 07.02.08
M.Sarkozy n’a pas réagi aux alertes sur son dévissage
LE MONDE | 07.02.08