Le mouvement du monde,
Cette sensation m'inonde.
Elle me tourne, me retourne et me noie.
Elle me laisse pour mort,
Mais me ramène dans tes bras.
C'est mon destin, ton sort.
Et, tel le coquillage d'Aphrodite
Qui te porte sur l'eau,
En mon corps tu habite,
Vil démons des faux flots.
Toi qui attise les feux des passions,
Toi qui brûle, brûle mon corps de ces émotions.
Quand pourrai-je enfin vivre,
Ou mourir sur l'autel de l'amour qui me délivre.
Déception je ne te fais point de peine
Car tu ne m'aime pas
Toute mes prières sont vaines
Mes veines s'ouvre ne t'inquiète pas.