Jamais mon coeur je n'aurais du te donner.
Il n'est pour toi qu'un habit de plus dans ta garde robe.. Tu le véti seulement à ta guise quand la chaleure tes nécessaires,
et tu ne prends même pas la peine de laver après l'avoir salis.
Car tu me traite comme larbin sans t'en rendre compte. Et qui d'autre que le larbin doit laver le linge que tu salis....
Je t'ai donné ce qui fait ma vie, ma chose la plus précieuse de ma pauvreté...
Mais les pale richesses qui t'aveuglent n'en font pour toi qu'un ustensil de plus.
Je me suis damné par amour, et la solitude des enfers est le lourd tribut réservé à quiconque voudra caresser tes ailes...