Magazine Voyages

Tuk-Tuk, 26 mai 1993

Publié le 26 mai 2011 par Safran
Tuk-Tuk, 26 mai 1993
En suivant la route principale d’un côté ou de l’autre de Tuk-tuk, nous arrivons dans les villages les plus touristiques de l’île, Tomok et Ambarita.
Ici, à Sumatra, dans une contrée où l’on coupait encore les têtes il y a quelques décennies, les bateaux de Prapat déversent leur cargaison de victimes consentantes : ils viennent dépenser leurs dollars dans des dizaines de boutiques d’artisanat. Le visiteur est accueilli par de larges sourires.- Hello Mister ! J’ai tout ce que vous cherchez, entrez dans ma boutique et regardez, disent les vendeuses.Il entre, tâte un tissu, demande les prix.- OK ? Vous achetez ?- Non, je vais voir une autre boutique, répond-il.Le sourire disparaît :- Mais oui, c’est ça, allez voir ailleurs ! Suit une phrase incompréhensible en indonésien.Et le même scénario se répète cent fois par jour.

À vingt kilomètres de Tuk-Tuk, Simanindo : un musée en plein air présente de belles maisons bataks. Pas facile de s’y rendre par les transports en commun, mais très facile de faire du camion-stop car les chauffeurs sont bien contents de se faire un petit supplément !Effectivement, les maisons bataks sont fort belles et anciennes. Comment les décrire ? Ouvrez donc une brochure de voyage à la page de Sumatra !
Tuk-Tuk, 26 mai 1993

Sur le chemin du retour, un minibus archibondé s’arrête au bord de la route pour nous embarquer. Une roupiah, c’est une roupiah ! On crève un peu plus loin, on repart, on se traîne jusqu’à Tuk-Tuk.


Tuk-Tuk, 26 mai 1993

Tuk-Tuk, 26 mai 1993

Détail d'une maison batak


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Safran 276 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Dossier Paperblog

Magazine