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Le féminisme voilà l'ennemi !

Publié le 26 mai 2011 par Bravepatrie

Nous apprenions en début de semaine la ridiculisation de l’Histoire de France via un scandale écornant la réputation du prestigieux concours de l’agrégation d’histoire 2011. En cause, les conceptrices du sujet d’histoire médiévale, les historiennes Catherine Vincent et Denyse Riche ayant présenté aux candidats un écrit de 1964 comme un manuscrit authentique de 1415... Mais pourquoi diable avoir confié une affaire d’une telle importance à des femmes !

Très récemment encore l’association « Osez le féminisme ! » entretenait par ses cris d’orfraie la sordide affaire DSK en publiant un manifeste-torchon s’indignant des réactions misogynes entendues ici et là. Situation douloureuse ? Mais peut-être parce que la vérité s’avère aussi dure à entendre que le chibre conquérant de tous ces hommes qui ont fait l’Histoire. Enfin, il faut raison garder, a-t-on déjà vu une turlutte non consentie ? Des féministes jouant les saintes-nitouches, en voilà qui usent et abusent des armes de séduction les plus éculées. Risible.

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Femmes en politique : Chantal Brunel comme l’exception qui confirme la règle

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Femmes en politique : Chantal Brunel comme l’exception qui confirme la règle

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Femmes en politique : Chantal Brunel comme l’exception qui confirme la règle

Soixante quinze mille viols en France par an ? Comme dirait Bruno Gollnisch, montrez-nous les pièces à conviction et recomptons, recomptons ! Pas de corps, pas de meurtre ! Les féministes commettent en vérité l’abus typique des gauchistes consistant à présenter une émeute brutale de deux cents activistes drogués comme un raz de marée de deux cent mille manifestants pacifiques. En contradiction totale avec les données inattaquables du ministère de l’Intérieur évidemment.

Non, cette gabegie du concours de l’agrégation n’est que la partie émergée de l’iceberg et il est grand temps que les politiques tirent les conclusions de décennies de décadence. Toutes ces années à se laisser attendrir par les arguties des féministes évoquant ces soi-disant violences et injustices faites aux femmes, à céder à ce qui ne relève finalement que du chantage aristophanesque et c’est toute la société, toute la Patrie qui se fissure. Notre présidentissime en aura fait la douloureuse expérience mais se sera ressaisi avec honneur en remerciant courageusement ses néo-jupettes au fil des remaniements.

Il existe d’autres manières d’incarner la France que de jouer les chiennes de garde !">

Il existe d’autres manières d’incarner la France que de jouer les chiennes de garde !

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Il existe d’autres manières d’incarner la France que de jouer les chiennes de garde !

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Il existe d’autres manières d’incarner la France que de jouer les chiennes de garde !

L’Histoire de France victime collatérale du féminisme irraisonné ? Que celle-là nous sauve de celui-ci ! Napoléon Imperator, gloire éternelle de notre Brave Patrie quand même il restait une chiure de cette race de bandits pédérastes et consanguins que sont les Corses, décréta l’incapacité juridique totale de la femme mariée. Conséquence directe ? La France régna pendant dix années sur le monde et dans les cœurs pour toujours. Qu’une sainte Réaction lave donc les erreurs du présent ! Réactivons nos vénérables lois, retrouvons notre honneur !

C’est avec une émotion inégalée que j’appelle tous les braves patriotes à sortir les bonnets phrygiens et à décrocher les piques pour oser la Révolution Machiste ! Une fois retrouvée l’autorité patriarcale si injustement persécutée, alors nous pourrons continuer notre croisade en direction des côtes européennes et régler un problème que l’on aurait pu croire tout à fait étranger à ce qui a donné naissance à ce manifeste : à la vérité, contamination intérieure et contamination extérieure marchent bien main dans la main…

P.-S.

Ayant découvert atterrés que la députée UMP Brigitte Barèges avait signé la pétition d’Osez le féminisme, signe incontestable des méfaits de la parité sur la politique française, nous sommes toutefois rassurés de constater que tout n’est pas perdu.


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