Tout est relatif disait le génie moustachu échevelé,
Le temps passe,vite,parfois trop vite,
Un moment de tendresse paraîtra toujours plus court,
Qu'un autre de solitude pesante,
L'amour accélèrerait-il la grande horloge de nos vies,
Chuter,décliner,n'est-il faute d'aimer,
Une âme pourrait-elle s'élever sans passion,
Sans ce respect de son semblable,
Rien qu'un zeste d'empathie,que le bonheur pointe son nez,
Qu'il est important de l'apercevoir,et surtout le retenir,
Et la grande roue fait son tour en un instant si rapide,
Que notre soudaine envie de vivre ne s'en rend compte,
Aimer et entrer dans la grande course du temps jamais compté.