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Couchepin, le lapsus permanent

Publié le 10 février 2008 par Kalvin Whiteoak
couchepin_mengele.jpgIl ressort des enquêtes menées et des écoutes que la fameuse allusion faite par Couchepin au non moins "fameux" Docteur de la mort paraît plus que vraisemblable. Malgré ses dénégations, il y a des rires en arrière-plan qui ne trompent pas.
 
Mörgeli ne mérite guère d'attention, lui le spécialiste UDC des musées de la médecine légale (tout un programme déjà). Mais de là à le confondre volontairement avec un criminel de guerre, il y a plus qu'un seuil à ne pas franchir, même si on le conteste après coup et même si l'on se trouvait sur le chemin de la très mauvaise plaisanterie.   Couchepin n'a jamais su parler, ce n'est pas de sa faute, c'est viscéral. Il a toujours dit blanc pour rouge et … rouge sur blanc. Son quotient intellectuel doit au moins ascender vers le plus petit commun dénominateur ultime et universel, ce fameux PPCD de nos enfances qu'il doit toujours confondre avec le PPCM…  

Mais à force de raconter n'importe quoi depuis le siège officiel qu'il occupe, il fait franchement honte à la Suisse. A l'époque de Blocher, il était éclipsé par un dangereux renard redoutable, et ses faiblesses en tous genres se voyaient moins. Mais maintenant, flanqué du comptable triste Merz qui lui a au moins le mérite de se taire, et de Schmid le bonasse exilé politiquement,  le bon vieux parti radical est vraiment mal barré au Conseil fédéral.

Dans d'autres pays et s'il en avait le courage, Couchepin serait déjà sur la touche. Mais non, il s'accroche à ce fameux mandat de représentant de commerce suisse pour une année, dans une incroyable démonstration de goût immmodéré du pouvoir qu'il ne sait pas exercer.   Triste fin de règne pour celui qui n'aurait jamais mérité de monter sur le trône fédéral. Qui se souviendra seulement d'une et une seule avancée qui lui soit due ? personne, personne en effet, car au niveau des avancées couchepiniennes, c'est le désert de Gobi, le vide intersidéral, le zéro absolu.   Alors pourquoi le conserver, pourquoi laisser au pouvoir ceux qui ne savent pas l'exercer car ils n'ont pas le plus petit début des aptitudes nécessaires ? si le peuple avait son mot à dire, Couchepin ne serait plus là. Merz non plus, alors que le parlementaires fassent leur travail, et nettoyent un peu ce cénacle : actuellement il y a trois éléments aussi inutiles que navrants, Couchepin, Merz et Schmid.   En 2008, on n'a pas le temps d'attendre leurs bons vouloirs et désirs mutuels de retraite, on doit les y forcer immédiatement, sinon dans quatre ans, on n'aura pas avancé d'un pouce sur le chemin du progrès social.   © iconographie Le Matin 

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