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Les dés sont jetés (article 104)

Publié le 02 juin 2011 par Snorounanne

Veuillez faire jouer l'audio au moment que je le signalerai et pour les nouveaux lecteurs, lire le descriptif. Cela vous évitera de dire "mais c'est quoi ça?" (clin d'oeil) Merci.

Si c'était à recommencer? Le feriez-vous?

Est-ce que, pour l'amour de Dieu, les belles-mères ont excessivement des comportements démentiels à la longue? Il est clair qu'on ne peut pas tous plaire à une belle famille. Aussi clair qu'on ne peut pas plaire à tout le monde. Puisque le monde est différent, que chacun est différent et que personne ne se ressemble. Sauf, des points en commun peuvent nous lier.

Je n'aurais jamais douté que madame Dubois irait jusque-là pour me défier. Et défier quoi? Ça m'avait si troublée, on dit qu'une fois n'est pas coutume... mais chez moi... subir ces sortes de déréglements psychologiques causés par d'autres personnes me renflouent dans mon petit univers. Il faut que je protège ce qui est venu au monde en même temps que mon âme intégrant ce corps.

Vous pouvez en être certain que Genny n'a pas épargné ses mots envers sa mère. Et, sa mère, lorsqu'elle a repris tous ses esprits et qu'elle s'était dégrisée. Elle a eu honte. C'est à partir de cette épisode qu'elle se prenait en main et décidait d'aller suivre une cure de désintoxication.

La petite soeur, Karo avait séjournée chez Genny tout le reste de la semaine. Autant troublée et traumatisée que moi, il était mieux, dans son cas, être à l'écart de sa mère. Lorsqu'elle revenait à la maison de son père et de sa mère, celui-ci l'accueillait à bras ouvert. Il lui faisait cette promesse que les choses allaient changer.

Genny avait pris soin de la reconduire et de s'assurer que sa jeune soeur se sentait bien, sinon, il était toujours temps de refuser. Elle n'hésitait pas, confiante et ressentant en elle que sa mère guérirait.

Samedi avant le dîner, Genny venait chez moi pour partager le week-end ensemble. Mon intérieur avait eu aussi le temps de se guérir. J'étais parlable et sociable avec la plupart des gens. Par ailleurs, en voici quelques extraits, mesdames et messieurs.

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 Réconciliation...? Non... nous n'étions pas en dispute. Réconfort et bien-être.

Geneviève Dubois - Plus jamais... plus jamais, elle te fera du mal, ma puce.

snorounanne - On n'en reparle plus, tu veux bien?

Geneviève Dubois - Je voulais te dire que ma mère ira dans un centre de désintoxication. Elle se prend en main. Et elle... elle est vraiment honteuse de ce qu'elle a fait.

snorounanne - Ta soeur, Karo? (essuyant quelques larmes) Comment est-ce qu'elle va?

Geneviève Dubois - Ça va. Elle était très secouée mais elle... elle a demandé que je la ramène à la maison.

snorounanne - J'ai... j'ai fait du café. Tu as déjeuné, dis-moi?

Geneviève Dubois - Un bon café, je te volerais, ma chérie. (me suivant à la cuisine) Et toi? Je sais que tu n'aimes pas que je pose la question mais je vais me risquer... Toi, tu vas bien?

snorounanne - (ouvrant l'armoire et prenant une tasse) Si tout le monde va bien, je vais bien.

Geneviève Dubois - J'en suis heureuse.

snorounanne - ( servant du café dans deux tasses) Lundi, je ferai une entrevue avec la chanteuse LeAnn Rimes, à l'émission, snorounanne reçoit ce soir.

Geneviève Dubois - La maigrichonne? Oh... pardon. (recevant la tasse de café) Merci.

snorounanne - Il est vrai qu'elle n'est pas rondelette et ni grassouillette. Enfin... j'aurai à ne pas la regarder, à la fixer.

Geneviève Dubois - Est-elle anorexique, d'après toi? (buvant le café)

snorounanne - Même si elle l'était. J'irais pas lui poser la question directement.

Geneviève Dubois - On fini de boire notre café et je te tire de la maison de force droit à l'épicerie. Pour se concocter un super de bon petit souper, ce soir. Ça te plairait? Avec... comme plat gourmet stylisé, un panier de fruits pour mon coeur d'or. Je te prends par les sentiments là? (air moqueur et air tout tendre)

snorounanne - Tu es douée et en plus, tu sais que c'est un de mes points faibles dont je ne peux céder.

Geneviève Dubois - L'amour pour ta femme, l'amour pour l'écriture, l'amour pour les fruits. Est-ce dans le bon ordre?

snorounanne - (envie de taquiner) J'aime les fruits, j'aime écrire et je t'aime pour toutes les saveurs et pour tous les mots déployant ta féminité.

Geneviève Dubois - Tu es irrésistible! Allons dépêchons. à l'heure qu'il est, c'est la foire au super marché. Les enfants... snorounanne... les enfants!

 

Le croiriez-vous si je vous disais que les enfants résonnaient encore comme l'écho qui finit par se perdre dans le puits de l'oubli? Tout près de l'heure du dîner, ce dimanche 29 mai, après avoir planté quelques caisses florales annuelles, dans la cour, Genny me colmatait d'une proposition hautement sérieuse. 

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 Pour un dimanche, étions-nous assez simples?

Geneviève Dubois - Ce serait amusant, non? D'autant plus que Karo évolue au 3ième coussin. Elle a tout un tir. Nous aurions du plaisir à l'encourager et la regarder jouer.

snorounanne - C'était la position, 3ième coussin que je couvrais du temps que je jouais à la softball. Entendu. Nous mangeons dans quelques minutes. Je me changerai de vêtements.

Geneviève Dubois - Elle tient à nous voir toutes les deux. Je vais tout de suite l'appeler et le lui dire.

 

Du bout de la ligne téléphonique, des cris éblouissants et joyeux sortaient. Genny et moi croisions nos regards tout en souriant. Nous venions de mettre de la joie dans le coeur de la jeune demoiselle. Bien entendu, il y avait sur le terrain, plein de petits accaparents et impatients jeunes enfants. Tout ce qu'eux voulaient de leur mère, étaient d'aller au petit resto ambulant pour des sucreries.  Quel après-midi insupportable de les entendre quémander à tous les soixantes secondes. Et je n'exagère pas, mesdames et messieurs... oui toutes les soixantes secondes.

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La blonde, c'était Genny et moi assise, commençant à trouver les manches longues...

Geneviève Dubois - Deux autres retraits, Karo et à vous les frappes! Encouragez-vous les filles! Rien n'est perdu!

Karo Dubois - On fait deux retraits automatiques et à nous la partie! Allez!

Geneviève Dubois - Pas trop chaud, snorounanne?

snorounanne - T'en fais pas pour moi. Si je venais à avoir faim et soif, je ferai toutes sortes de grimaces pour gagner le coeur d'une maman charitable. Ça marche à tout coup, si j'en déduis la tolérance qu'elles ont certaines d'entre elles.

dame à droite - Vous seriez pas, Snorounanne d'Humour à la télé?

snorounanne - Eh oui... de l'air en-dehors de l'écran, ça me décontracte un p'tit peu. (air taquin)

dame de derrière - C'est bien vous! J'aimerais vous féliciter pour votre chronique, la semaine dernière sur les femmes battues.

snorounanne - Merci.

dame à droite - Grâce à vous, une copine a su comment quitter son conjoint.

dame en rouge - (s'adressant à l'autre personne à ses côtés) C'est Snorounanne d'Humour. Celle qui anime l'émission d'Humour et snorounanne reçoit ce soir...

dame en noir - Elle est lesbienne, savais-tu?

dame de derrière - Pardonnez-moi si j'interrompe votre attention sur le match... C'est vrai à ce qu'on raconte, vous n'aimez pas les enfants?

dame à droite - Pas parce qu'elle en a pas qu'elle les aime pas...

dame de derrière - Non mais... c'est à elle que j'ai posé la question.

dame en noir - J'en ai quatre et toutes des filles. Tenez! Deux d'entre elles jouent à la softball. Elles sont là-bas, au centre et à gauche sur le terrain.

snorounanne - Mon amie que vous voyez en blanc et aux lunettes, sa jeune soeur est au 3ième coussin.

dame en noir - Votre amie... votre... votre p'tite copine, vous voulez dire...

dame en rouge - Son amoureuse... (sourire pointilleux)

dame à droite - Et puis? Elles sont mariées, ça été dit, ça s'est parlé.

snorounanne - Mesdames, mesdames? Nous sommes venues pour encourager les enfants, vos filles. S'il vous plaît... (me levant et allant rejoindre Genny)

Geneviève Dubois - (ne se tournant la tête) Tu aurais fait un signe et je sautais sur madame Jumbo.

snorounanne - Celui-là? (discrètement je lui montrais le doigt d'honneur)

Geneviève Dubois - (éclatant de rire) Affreuse... tu es affreuse...

 

Et comme cela ne suffisait pas pour ce dimanche ensoleillé et accablant d'une certaine chaleur, un groupe de femmes les plus polies et charmantes et ouvertes d'esprit, nous invitaient Karo, Genny et moi à un petit goûter de fin d'après-midi. Je dois préciser que c'est une maman que Karo connaissait fort bien puisque... elle avait une amie dans cette famille.

Et, je dois préciser, mesdames et messieurs, qu'il y avait des enfants plus jeunes que Karo à ce petit goûter. Voyez cela par vous-même!

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Un charme d'avoir des enfants...

Nous rentrions les trois, en reconduisant Karo et tout juste passait-il les 19 heures. Karo me témoignait sa gratitude.

Karo Dubois - Tu devrais revenir la semaine prochaine, snorounanne. Tu nous a apportées  chance et succès! J'ai frappé un triple! Et on a gagné!

snorounanne - Je ne promets rien. On verra. J'ai été stupéfaite, ma belle. Tu es solide au bâton.

Geneviève Dubois - (Arrivant devant la maison) Nous y voilà, ma cocotte.

Karo Dubois - Dis oui! Dis oui que tu viendras, s'il te plaît.

snorounanne - Karo... Pas de ça avec moi. Je t'ai dit que je verrai.

Geneviève Dubois - Allez, donne un bisou à ta grande soeur. (s'embrassant) Tu as été formidable. Comme toujours. Va, et embrasse papa et maman pour moi.

Karo Dubois - D'accord... (ouvrant la portière et emportant son sac de sport) Bye snorounanne! Bye Genny!

Geneviève Dubois - Bye ma championne! Bonne semaine!

Karo Dubois - À vous deux, bonne semaine! (faisant des bye bye avec la main et entrant en courant)

 

Prenez une bonne respiration car nous plongeons!

 

L'émission snorounanne reçoit ce soir: LeAnn Rimes! Caméras créant un rapprochement du sujet. Et j'adore vous dire que l'émission était déjà en cours et qu'elle a été traduite en français pour votre bonne écoute.

Lundi 30 mai 2011. Heure - 20:06

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 Dans un tout autre décor... une fois par six mois... pas si mal, hen?

snorounanne - Vous êtes née un 28 août 1982, à Jackson, Mississippi, et votre véritable nom au grand complet, c'est Margaret LeAnn Rimes. Très joli, en passant.

LeAnn Rimes - Je vous remercie.

snorounanne - Première fois que vous faites escale à Montréal?

LeAnn Rimes - À Montréal, oui.

snorounanne - Vous, vous vous sentez bien? Je vous regarde et on dirait que... vous voulez peut-être un café? Habituellement, nos recherchistes nous en offre au début de l'émission.

LeAnn Rimes - Non, tout est parfait, je vous assure. Je suis juste un peu nerveuse.

snorounanne - Je peux en commander, si vous aimez. Un claquement de doigt et on m'obéit.

LeAnn Rimes - Pas nécessaire, merci. (sourire rieur)

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De bonnes références sur la chanteuse sur ces tas de feuillets qu'on a préparés.

snorounanne - Votre père Wilbur et votre mère Belinda n'ont eu qu'un bébé et donc, vous êtes enfant unique. Ils sont divorcés...

LeAnn Rimes - En 1997, ils ont divorcé.

snorounanne - Et, vous étiez empressée, dès le bas âge... de démontrer que vous aviez un talent fou. Vous n'aviez que...

LeAnn Rimes - J'avais, si je me trompe pas, 18 mois et je chantais. Et sans me vanter, je chantais bien. Mes parents m'ont inscrite à l'école de chant et de danse, à l'âge de 5 ans. Et, à cet âge, j'étais déjà déterminée à être une interprète. J'ai dit à ma mère et mon père, c'est ce que je veux faire. Et je suis allée.

snorounanne - C'est étonnant le parcours que vous avez entrepris toute jeune. À 6 ans, vous avez participé à un concours de talent et l'avez remporté.

LeAnn Rimes - Ça s'appelait: Apprendre à se connaître.

snorounanne - Votre carrière de chanteuse a débuté tôt, si on se refère, ici, avec ce que je lis. Votre premier album à l'âge de 11 ans, dont le titre était All that qui a été produit par votre père. En 1997, votre première compilation qui répertoriait vos premières années de chant et de succès "Early years" vous avez joué dans des films, des téléfilms. Et j'ai quelque chose de mignon à vous montrer LeAnn.

LeAnn Rimes - Quelque chose que tout le monde peut voir? (souriant)

snorounanne - Ça va de soi! Regardez bien sur ce moniteur.

 

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La petite vedette!

LeAnn Rimes - Moi déguisée en citrouille. J'suis... j'suis encore reconnaissable. Seigneur... j'avais peut-être 3 ans, 4 ans?

snorounanne - Vos yeux n'ont pas changé, LeAnn.

LeAnn Rimes - Non, c'est vrai. Y a... y a peut-être juste ça qui a pas changé, en fin de compte. (riant) 

snorounanne - Quels sont vos hobbies? Vous aimez quoi faire?

LeAnn Rimes - J'aime flâner dans les boutiques. C'est une joie pour moi, de faire du shopping. J'aime aussi... euh... regarder la télé! Et... et... j'aime rire!

snorounanne - Vous aimez les animaux?

LeAnn Rimes - Les chiens. J'en ai un, elle s'appelle Sandy.

snorounanne - Moi, j'ai deux chats. Spotty et Jonas. Et puis, vos chanteurs préférés, qui sont-ils?

LeAnn Rimes - Ah bien, y a Bryan White, Alan Jackson, Billy Dean... euh... faut pas que j'en oublie, hein...? Michael Bolton, Hank Williams sr, Prince.

snorounanne - Pour les chanteuses?

LeAnn Rimes - Patsy Cline, Rea Mcintire, Wynonna Judd, Celine Dion, Whitney Houston, Barbra Streisand... oh... j'espère les avoir toutes nommées...

snorounanne - Des groupes en particulier?

LeAnn Rimes - Oui! Aerosmith!

snorounanne - Et si nous nous orientons vers le sport?

LeAnn Rimes - J'aime faire de l'équitation, jouer au tennis, faire du rollers et le softball!

snorounanne - Et si je vous demandais, les vêtements préférés?

LeAnn Rimes - T-shirts, jeans... pas trop fancy.

snorounanne - Abordable, je dirais.

LeAnn Rimes - On est bien en jeans et t-shirt.

snorounanne - Je suis entièrement d'accord. Et plongez vos jolis yeux sur le moniteur.Vous pourriez commenter si vous le désirez.

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 mariage! mariage!

LeAnn Rimes - Superbe de belle photo! Et bien voilà! C'est notre mariage. Avec le très séduisant acteur, Eddie Cibrian. Je l'ai épousé un certain vendredi 22 avril devant une quarantaine d'invités. Nous avons célébré cette union en toute discrétion dans une résidence privée, à Los Angeles.

snorounanne - Vous étiez sublime! Et votre robe de mariée sensationnelle! Ma chère LeAnn, à vous et à Eddie, je vous souhaite plein de bonheur. Et comme nous ne pouvons nous passer de publicités pour payer tout ce beau monde sur le plateau, les invités et le décor, nous allons désormais vers des pauses et d'ici quelques minutes, nous poursuivrons notre entretien. À tout de suite!

Et lorsque nous étions de retour, nous engagions la conversation sur nos états d'âme et pour la fin de l'émission, j'invitais LeAnn à chanter "I need you" que vous écouterez,  mesdames et messieurs à la fin de cet éditorial. Et que je vous y surprenne de l'écouter avant! J'ai toujours eu confiance en vous pour passer tout en lecture et patienter avant l'audio. Est-ce que vous procédez de cette façon? Devrais-je mettre tous vos ordinateurs sur écoute? Ce serait complètement absurde. Voyez combien je peux l'être?

Les journées de mardi, mercredi, une chaleur flottait au-dessus de certaines villes de la province du Québec. Mercredi, 1er juin 2011, des vents aussi insupportables qu'un troupeau de 2 enfants en crise s'abattaient. Cela allait tout probablement briser le facteur humidex. Ma thermopompe climatiseur fonctionnait depuis lundi et la piscine n'attendait que des baigneurs.

Ai-je besoin de vous tirer par un câble afin que vous me suiviez? Nous arrivons à ce jour du mercredi 1er juin. Venteux, beau et chaud. J'avais mercredi de congé. Pour ma part, ça n'avait pas changé. Pour Genny, bien de petites choses avaient changé et s'étaient modifiées.

Nous avions nos week-end pour mieux nous apprécier. Comme je m'asseyais sur une belle chaise longue et confortable, dehors, sur la terrasse, à l'abri de ces grandes bourrasques de vent, le téléphone sonnait. Je n'avais qu'à étirer mon bras et jetant un oeil sur l'afficheur des numéros, je ne connaissais point cet intervenant. Je répondais par politesse.

 

snorounanne - Allô? (vous devinez qui c'est?)

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 Non, ce n'est pas Genny... essayez mieux...  qui? Jodie?

Jodie Foster - Est-ce bien ma beauté des îles au téléphone?

snorounanne - (cherchant, me creusant rapidement les méninges) Vous aurais-je abandonnée là-bas sur une île que je ne m'en rappellerais plus?

Jodie Foster - C'est moi, ma p'tite coquette. Jodie.

snorounanne - Oh... bonjour toi! Ça va?

Jodie Foster - Comme tu peux voir, je prends de ce temps pour téléphoner à celle qui m'a, jadis, émerveillée. Oui, ça va. Et toi? À ce que je sache, on te rend la vie dure, ma jolie.

snorounanne - Nullement. Qu'est-ce qui te fait penser à ça?

Jodie Foster - Ta belle mère.

snorounanne - J'estime que... ce qui se passe dans ma vie ne te regarde plus Jodie.

Jodie Foster - Je me soucierai de toi jusqu'à ma mort et tu le sais trop bien. Alors, elle va se taper quelques semaines voire quelques mois dans un centre de désintoxication, donnons-lui cette chance, bien sûr.

snorounanne - Comment sais-tu ces choses? Est-ce... est-ce que tu as envoyé un espion pour m'espionner?

Jodie Foster - Ah seigneur... comme j'aime entendre le timbre de ta voix si impulsive. Je t'adore. Je te l'ai déjà dit, bella d'amour. J'ai de bons contacts.

snorounanne - Avec toi, je ne sais jamais quand tu es sérieuse.

Jodie Foster - Tu t'es déconnectée de moi? Tu ne me sens plus? Tut, tut, tut, tut... C'est navrant tout ça.

snorounanne - Si tu as pas autre chose à me dire, à me parler, on peut se raccrocher.

Jodie Foster - Allons, sois pas agressive. Pense à ton coeur... Je t'appelais pour te féliciter. J'ai pu suivre via l'internet ces chroniques sur les femmes violentées, les 4 jeunes lesbiennes qui s'assument et l'homoparentalité. Tu fais de beaux progrès, ma chérie.

snorounanne - Ne m'appelle pas ma chérie. Je ne suis plus ta chérie et je te remercie d'être attentive et à l'écoute de ce que je fais. Si tu l'avais fait du temps que nous nous fréquentions, cela m'aurait fait plaisir.

Jodie Foster - Toujours des reproches, n'est-ce pas? Tu peux décrocher et accepter le passé comme étant une expérience de vie. Je trouve que nous deux c'était bien.

snorounanne - Courir la galipette, Jodie, ce n'est pas bien quand on est en relation.

Jodie Foster - Non, j'avoue que tu as raison. Et pourquoi tu le faisais? (pouffant de rire)

snorounanne - Quoi?

Jodie Foster - Je plaisantais, ne te fâche pas. J'étais fautive. Ne me suis-je pas excusée, ne t'ai-je pas demandée de me pardonner? Oui... alors, Genny et toi, vous filez l'amour. Je n'oserais pas dire le parfait amour, l'amour a aussi ses imperfections.

snorounanne - Oui, nous filons très bien l'amour, ce que tu veux entendre.

Jodie Foster - Toi, tu veux entendre quoi? Autre chose?

snorounanne - Non.

Jodie Foster - Tu es merveilleuse. C'est moi... oui, je le répète, c'était moi, le problème. J'ai manqué bien des choses avec toi et je les regrette. Mais... faut croire que nous devions vivre ces instants. Toi, tu es une merveilleuse femme, snorounanne. Et c'était chouette, l'émission avec LeAnn Rimes. Tu es talentueuse et tu as du talent à revendre. Sur ce, je t'embrasse.

snorounanne - Merci Jodie. Ça fait plaisir à entendre. Je t'embrasse. Et prends soin de toi et de tes fils.

Jodie Foster - Prends soin de toi et d'elle. Elle a besoin de toi et... t'inquiète... je sais combien tu la protèges et que tu l'aimes. Au revoir, ma beauté des îles.

snorounanne - Bye Jodie. (raccrochant la ligne)

 

I need you... c'est l'instant d'écoute de l'audio. Vous pouvez l'interpréter à votre façon, la visualiser à votre façon. Comme j'étais seule, chez moi, et il fallait m'y habituer pour les mercredis. Je fermais les yeux après avoir raccroché la ligne téléphonique et après avoir mis un oeil sur cette image où un ange suit un enfant... vous n'avez pas oublié? Cette photo mystère?

Vous n'avez pas lu cet article? Ah... misère... je ne vais pas me fâcher ni devenir impulsive. Puisque vous savez ce qu'il vous reste à faire. Moi, j'ai fait mon boulot. En vous remerciant aimablement de passer en lecture sur ces différents éditoriaux, différentes chroniques. À bientôt! Bisous!

  


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