On ne peut pas être en osmose avec tout le monde, rien ne sert d'idéaliser et de vouloir maximiser. Cependant, il existe une différence entre un interlocuteur qui pense être d'un autre monde et un autre qui défend des idées opposées et argumentées.
Le premier profil est plutôt "anti-social" (de par l'attitude), tandis que le second tend vers la critique constructive... et le progrès.
Si les médias sociaux sont considérés comme des facilitateurs d'interactions, alors on va régulièrement rencontrer de nouvelles personnes, découvrir de nouvelles choses, etc...
Cependant, il apparaît inutile de passer plus de temps sur les premiers profils cités plus hauts, ni de se remettre en question lorsqu'on fait face aux attitudes les plus douteuses.
Les seconds profils, eux, enrichissent nos perceptions d'un même sujet, permettent de challenger et de cultiver un certain degré d'ouverture d'esprit.
Dans son dernier livre, "L'art de l'enchantement", Guy Kawasaki place le fait d'être apprécié comme critère premier. Ce facteur-ci, que l'on pourrait aussi appeler "Facteur Sympathie', semble basique mais reste central lorsqu'on veut construire des relations durables.
Ainsi, "designer" des objets de conversation et des contenus pertinents semblent être primordiaux. Cependant, une attitude fermée et élitiste annule les effets de l'enchantement.
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