Imperturbables, les gargouilles parmi lesquelles je ne vous cache pas que j'ai mes préférées, poursuivent leurs conciliabules silencieux, commentant l'état d'avancement des travaux et le fleurissement tardif de leur jardin ainsi que les quelques signes discrets témoignant d'une activité embryonnaire prélude au feu estival.









Mon vœu serait –il exaucé si je souhaitais que mes cendres soient cachées ici, sous une vieille dalle usée et luisante, suant sa fraicheur été comme hiver ?
"Toul, ville (encore) sonnante, (plus trop) puante et (délicieusement encore) médisante…"(Photos du 4 juin 2011)
