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Poelvoorde aux jeux olympiques

Publié le 11 février 2008 par Aude Lemaire

Comment Poelvoorde à Pékin en 2008 ? Vous découvrez seulement l'info ?? Pour peu on se croirait sur la couverture de Paris-Match, un titre qui n'a rien à voir - ou si peu - avec son contenu ! Notez que pour un temps vous y avez cru hein ! Bref, tout ce tapage c'est seulement pour vous parlez du film Astérix aux jeux olympiques, qui pour ceux qui suivent ça de près, est sorti il y a près de 15 jours chez nous, oui oui je sais mieux vaut tard que jamais !
Avant de commencer ma "critique", deux points importants :
- j'adore Poelvoorde, et pas seulement parce qu'il est belge, ce mec est drôlissime au possible, je suis fan.
- j'adore Astérix - la bd - encore plus Obélix, parce que le petit moustachu blond il a un peu tendance à me courir sur le haricot avec ses morales à deux balles
Cela dit, je peux vous avouez tout de go que j'ai trouvé ce film assez mauvais dans l'ensemble, voir nul, n'ayons pas eur des mots ! En lisant le titre je m'attendais à voir un peu Astérix, non ? Au lieu de ça, on se retrouve dans un film avec Poelvoorde en guest star (on comprend mieux pourquoi il occupe le centre de l'affiche), qui s'accapare presque l'écran, et le film, d'où le titre de mon article. A la limite, ce gueux de gaulois, nous rappelle-t-il vaguement quelqu'un. Il n'y en a que pour le belge, qui par moment surjoue quelque peu mais à qui on doit une réplique qui va devenir culte : Parle à mon cubitus, ma tête est malade...
Outre un chouette passage (de 10 secondes et demie) avec une reprise de Diam's version gauloise, un Stephane Rousseaux beau comme un Dieu et un César qui se moque de Delon*, ou l'inverse, passez votre chemin, ce n'est surement pas le film de l'année !
* à propos saviez-vous que pour la plupart des scènes de ce film, Poelvoorde parlait à... un fond vert ! Delon n'ayant pas souhaité se mêler au petit peuple du plateau....

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