Observation. Un changement suscite de très bruyantes réactions négatives. Mutinerie ? En quête : ceux qui sont concernés au premier chef par le changement, une fois la stupéfaction passée, ont pris leur sort en main et s’entraident (ils illustrent même ce billet). Ils sont prudemment optimistes bien qu’un peu inquiets : vont-ils être à la hauteur de leurs responsabilités ?
Je m’interroge : pourquoi cette incohérence ?
Précision supplémentaire : il semblerait que les protestants ne soient pas directement concernés par le changement.
Et si la représentation que l’on se fait du changement était la source de ses inquiétudes ? Lorsque l’on est au milieu du danger, et que l’on constate que l’on sait y naviguer, on est rassuré ?
Ce qui expliquerait aussi le paradoxe de la résistance apparente. Seuls ceux qui ne sont pas concernés par le changement ont le loisir de s’exprimer.