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Rіmаіlleur : pоème Tоus les ⱱents ...

Par Illusionperdu @IllusionPerdu

Tous les vents ...

Je ne sais pas, je ne sais plus comment te dire

Je ne sais plus sans répéter sans cesse, redire

Aux vents de la Provence, celui qui vient de mer

Que je t’aime d’amour, sans arrière goût amer.

Tu es ce qui tu es, je suis ce qui je suis

Et rien ne viendra modifier ce qui s’ensuit.

Pour moi, sans avoir besoin d’un maire, d’un curé

Tu es ma femme et notre union va perdurer.

Tous les vents, toutes les tempêtes et toutes les tornades

Les ouragans, et ces tonnerres qui nous canardent

Rien, même un tsunami ne me détachera

De toi. La mort, et encore, un jour le pourra.

Soufflent les vents, soufflent les brises, soufflent les bises

Hurlent tous ces vents qui n’empêchent que je te dise

Devant le monde entier devant la terre entière

Par delà les vallées et les montagnes altières,

Tu es mon amour tu es mes amours et rien

Rien ne viendra salir, troubler ce qui est mien

Tu peux partir au loin aux fins fonds de la terre

J’ai confiance en l’amour et plus rien ne m’atterre.

Je refuse de laisser à mon âme vagabonde

D’avoir des pensées idiotes dont la folle ronde

Ne seraient qu’insultes à ta si tendre personne

Les faire taire à jamais si des fois elles résonnent.

Alors vous les vents, tous les vents allez lui dire

Que je veux bien qu’un jour elle puisse me maudire

Si je manque de respect à l’amour qu’elle me porte

Qu’elle peut sans équivoque me condamner sa porte.

Vous les zéphyrs, les brises, les vents les plus câlins

Vous les souffles légers aux parfums de pralins

Vous qui donnez au monde le frais de votre haleine

Vous lui direz toujours, sans arrêt mes je t’aime.

Vents des Alpes, vents de frissons et vents de Provence

Qui êtes sur les âmes comme un bain de jouvence

Allez lui dire bien haut en un langage fleuri

Que pour la vie entière elle restera ma mie.

Allez lui dire que je l’aime, que cette passion

Durera plus longtemps que toutes mes obsessions

Que je l’aime d’un amour qui dépasse la raison

Et qu’un jour nous vivrons dans la même maison.

Alors, plus fort que le temps, plus fort que la mort

Nous vivrons enlacés, d’amour et sans remord.


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