Attentat à la pudeur : DSK dans les jardins de l'Observatoire.

Quelle farce se joue à New-York ? Monsieur Strauss-Kahn se prend pour Mitt’rand. En tirant sur les ficelles déjà éculées du complot self-organisé pour attirer sur soi la compassion du peuple, DSK entrainera avec lui toute la gauche et ainsi que le khmers verts dans la bonde d’évacuation de sa douche du Sofitel.

Espérait-on nous faire croire à la virilité d’un socialiste sexagénaire ? Ou bien essaye-t-on de victimiser un israélite qui bande mou ? Etions-nous encore aveuglés par le souvenir ému des seins de Mme Sinclair qui tendaient son pull bleu électrique lorsqu’elle présentait 7/7 pour oublier de quelles manigances M. Kahn est capable ?

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Les racines du mal.

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Les racines du mal.

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Les racines du mal.

Quand on pense que certains hommes d’affaires n’osent plus sortir de leur douche au Sofitel pour exhiber fièrement leur membre dominant aux yeux envieux de leur femme de chambre ! Il est temps de redonner ses lettres de noblesse à l’aristocratie politique conservatrice adepte du bunga-bunga.

Point de départ de cette affaire : l’abus de pouvoir d’un homme influent sur une pauvre femme de chambre africaine. Déjà c’est louche : pourquoi se défendre ? Si Strauss-Kahn était bien le lider maximo qu’il prétend être, nul besoin de se dédouaner ! Un vrai Cavaliere, lui, n’aurait pas nié, il aurait fièrement affiché sa masculinité en prétextant que cette humble boniche s’étant trouvée nez à nez avec le sexe lustré de l’homme de pouvoir serait tombée en pâmoison pour lui éponger les gouttes chlorées de son ablution génitale.
Cela n’est pas crédible : quand nous donnons du plaisir à une miséreuse chargée de nettoyer notre quotidien luxueux, nous nous enorgueillissons de ce don. Si DSK nie, c’est qu’il ne s’est en fait rien passé !

Par contre, le guet-apens mettant en cause les bonnes mœurs de M. Kahn était lui prémédité. Et comment croire qu’un tel complot puisse germer dans l’esprit faible d’une femme de chambre, qui plus est issue d’un peuple qui n’est pas encore entré dans l’Histoire (Nicolas S., Dakar 2007) !

N’oublions pas que M. Kahn hérite d’une culture où le complot est un savoir-faire ancestral (Judas Iscariote, Bible, Nouvelle traduction 2001, Editions Saint-Nico du Chard). Qui mieux que lui, se trouvant sur place, possédant les moyens financiers et les réseaux d’influence, pouvait orchestrer sa propre chute ? Le scénario est hélas connu : tel M. Mitt’rand qui avait pris contact avec la pègre quelques jours avant d’organiser son propre attentat dit « de l’Observatoire » en 59, M. Kahn avait rencontré une prostituée la veille de l’affaire au Sofitel (Source : Bernard Debré investigations & filatures).

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Photo d’un jeune délinquant en 59

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Photo d’un jeune délinquant en 59

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Photo d’un jeune délinquant en 59

Le scénario est hélas connu : M. Kahn attend Nafissatou Dialo, vêtu d’un peignoir rose offert par sa fille, notons qu’à ce jour rien n’est connu sur les relations incestueuses de M. Kahn mais l’enquête suit son cours (Bernard Debré investigations & filatures). La petite africaine entre et joue son rôle en crachant un peu de sperme partout dans la chambre. D’ailleurs comment imaginer qu’à son âge avancé M. Kahn ait pu lui-même asperger sa chambre de sperme, il fallait nécessairement que le sperme ait été préalablement fourni par M. Kahn à sa soi-disant accusatrice. D’ailleurs, une petite analyse subtile du nom de Nafissatou Dialo révèle la préméditation de la supercherie : « Nafi » comme dans « naïf », « ssatou » comme dans « toussa », et « dialo » comme dans « diabolo », ce qui signifie en Peul « le diable cracha le sperme sur la foi des naïfs ».

Bien entendu, il est alors simple de disculper le socialo-trotskyste DSK, qui je vous le rappelle a déjà bradé notre économie de bon père de famille pour sauver les communistes homosexuels grecs.
Et ses amis socialistes, messieurs Moscovici, Cambadélis, ou Valls, comptent que M. Kahn sorte triomphant de la justice américaine, pourtant l’une des plus impartiales au monde, pour aller conquérir le peuple français affichant un honneur retrouvé ?

Eh bien non M. Kahn, votre morale est entachée de votre perversion addictive et vous pouvez compter sur les braves patriotes pour contrer votre dessein. Si vous ne renoncez pas à vous présenter aux primaires de votre parti déjà gangréné par l’humour corrézien, nous braves patriotes nous dévoilerons à la presse que c’est VOUS qui aviez enseigné la réflexologie plantaire à M. Tron. Et croyez-moi : même si l’Amérique est présidée par un noir, la France saluera à nouveau sa victoire au Fouquet’s en 2012.