J’avais commis cette petite BD pour fêter la migration de Celle-qu’elle-est-comme-ma-soeur vers les ensoleillées contrées armoricaines. Un boulot de titan (lamazou) pour moi qui préfère l’amour en mer tout résumer en un seul dessin basta c’est plié on n’est parle plus.
Je l’exhume aujourd’hui, parce que… bin… c’est mon tour.