C’est ce que titrait Ladepeche.fr le 30/09/2010 (voir le détail de l’article)
Le syndrome France Télécom, c’est un terme qui revient souvent, le voici encore dans l’actualité de cette semaine avce des nouveaux suicides à l’ONF
La Depeche.fr : les suicides à l'ONF
Cette semaine deux nouveaux suicides d’agents de l’Office National des forêts alimentent l’actualité :extrait de l’article de l’Humanité.fr : Le syndicat »estime « indéniable que la politique mise en œuvre par le gouvernement et la direction de l’ONF, fondée sur des réductions d’effectifs et un management individualisé et agressif, est responsable du mal-être et de la souffrance au travail parmi les personnels ».
Le Figaro.fr titre : ONF 2 nouveaux suicides
Le figaro.fr titre : ONF 2 nouveaux suicides
La direction de l’ONF a confirmé ces suicides, intervenus le 20 juin en Lozère et le 6 juillet en Gironde, et accepté l’ouverture d’une enquête interne par l’intérmédiaire des CHSCT locaux. »Nous avons convoqué nos comités d’hygiène et de sécurité locaux et j’ai accepté que des enquêtes soient diligentées », a déclaré Pascal Viné, le directeur général de l’ONF.
L’office a enregistre 22 suicides depuis 2005, a-t-il reconnu.
Libération.fr le 12/07/2011
Cela fait le troisième suicide en un mois
Office National des For^ts: Image Liberation.fr du 12/07/2011
France Telecom, laboratoire de l’antipathie
En effectuant des recherches je suis tombé sur le blog de Michel Terestchenko (Maître de conférences de philosophie à l’université de Reims et à l’IEP d’Aix-en-Provence) qui relayait un article fort intéressant de Gildas Renou sur »Le Journal du Mauss » qui mettait en ligne un article fort intéressant de Gildas Renou, jeune chercheur en sciences sociales, intitulé : « Les laboratoires de l’antipathie. A propos des suicides à France Télécom ».
Je vous conseille de lire les extraits de l’article sur le blog de Michel Terestchenko ou l’article complet (Revue du Mauss permanente) sur le journaldumauss.
Citation dujournaldumauss
« On ne mesure pas la puissance d’une idéologie aux seules réponses qu’elle est capable de donner, mais aussi aux questions qu’elle parvient à étouffer ».
Günter Anders, L’Obsolescence de l’homme (1956)