Magazine Bien-être

"Oui .... Mais" film à visionner ici - La connaissance de soi, pour un changement et une libération en toute responsabilité de votre vie !

Publié le 25 juillet 2011 par Revelessencedesoi

  

film de 2001

Réalisé par Yves Lavandier 
Avec Emilie DequenneGérard JugnotFabienne Saint-Pierre

Durée : 01h44min  

Eglantine, une adolescente de 17 ans en pleine découverte de la sexualité, est entourée d'une mère étouffante, d'un père absent et d'un petit ami trop entreprenant. Pour se libérer du poids de son enfance et de ses parents, elle décide de suivre une brève thérapie avec un psy hors du commun. Son existence va s'en trouver bouleversée.

Pourquoi ce film est sur mon blog ? 

C'est une histoire entre une amie et moi. Elle m'abreuve de films pour imager nos échanges, nos conversations concernant l'évolution sur le chemin de la connaissance de soi et du bonheur. Le premier dont elle m'a parlé :  "MA VIE SANS MOI" - FILM à visionner ici - conscience de la vie est déjà en ligne, j'ai même crée une chaîne liée au blog de revelessencedesoi link . J'y ai regroupé des vidéos de viméo déjà sur mon blog et d'autres encore à venir .... mais tout ceci demande du travail et du temps ....

Donc la petite histoire de "oui ... mais" sur revelessencedesoi.com , commence par la métaphore du papillon partagée sur mon profil fb et qui se trouve racontée dans le film par le psy pour expliquer comment vraiment aider les autres .... la voici :

Aimer la main ouverte (texte de Ruth Sanford)

 «Une personne compatissante, voyant un papillon lutter pour se libérer de son cocon, et voulant l'aider, écarta avec beaucoup de douceur les filaments pour dégager une ouverture. Le papillon libéré, sortit du cocon et battit des ailes mais ne put s'envoler. Ce qu'ignorait cette personne compatissante, c'est que c'est seulement au travers du combat pour la naissance que les ailes peuvent devenir suffisamment fortes pour l'envol. Sa Vie raccourcie, il la passa à terre. Jamais il ne connut la liberté, jamais il ne vécut réellement.» Apprendre à aimer la main ouverte est une toute autre demarche. C'est un apprentissage qui a cheminé progressivement en moi, façonné dans les feux de la souffrance et les eaux de la patience. J'apprends que je dois laisser libre quelqu'un que j'aime, parce que si je m'agrippe, si je m'attache, si j'essaie de contrôler, je perds ce que je tente de garder. Si j'essaie de changer quelqu'un que j'aime, parce que je sens que je sais comment cette personne devrait être, je lui vole un droit précieux, le droit d'être responsable de sa propre vie, de ses propres choix, de sa propre façon de vivre. Chaque fois que j'impose mon desir ou ma volonté, ou que j'essaie d'exercer un pouvoir sur une autre personne, je la dépossède de la pleine réalisation de sa croissance et de sa maturation. Je la brime et la contrecarre par mon acte de possession, même si mes intentions sont les meilleures. Je peux brimer et blesser en agissant avec la plus grande bonté, pour protéger quelqu'un. Et une protection et une sollicitude excessives peuvent signifier à une autre personne plus éloquemment que des mots : Tu es incapable de t'occuper de toi-même, je dois m'occuper de toi parce que tu m'appartiens. Je suis responsable de toi. Au fur et à mesure de mon apprentissage et de ma pratique, je peux dire à quelqu'un que j'aime : «Je t'aime, je t'estime, je te respecte et j'ai confiance en toi. Tu as en toi (ou tu peux développer) la force de devenir tout ce qu'il t'est possible de devenir, à condition que je ne me mette pas en travers de ton chemin. Je t'aime, tant que je peux te laisser la liberté de marcher à côté de moi, dans la joie et dans la tristesse. Je partagerai tes larmes, mais je ne te demanderai pas de ne pas pleurer. Je répondrai si tu as besoin de moi, je prendrai soin de toi, je te réconforterai, mais je ne te soutiendrai pas quand tu pourras marcher tout seul. Je serai prête à être à tes côtés dans la peine et la solitude, mais je ne les éloignerai pas de toi. Je m'efforcerai d'écouter ce que tu veux dire, avec tes paroles à toi, mais je ne serai pas toujours d'accord avec toi. Parfois, je serais en colère, et quand je le serai, j'essaierai de te le dire franchement, de façon à ne pas avoir besoin d'être irritée de nos différences, ni de me brouiller avec toi. Je ne peux pas toujours être avec toi ou écouter ce que tu dis, parce qu'il y a des moments où je dois m'écouter moi-même, prendre soin de moi. Quand cela arrivera, je serai aussi sincère avec toi que je pourrai l'être.» J'apprends à dire cela à ceux que j'aime et qui sont importants pour moi, que ce soit avec des mots ou par ma façon d'être avec les autres et avec moi-même. Voilà ce que j'appelle aimer la main ouverte. Je ne peux pas toujours m'empêcher de mettre mes mains dans le cocon... mais j'y arrive mieux, beaucoup mieux depuis que je me respecte aussi.        

Dans "oui mais" vous découvrirez donc comment on ne peut changer l'autre et le tenir responsable de ce qui nous arrive et que si l'on veut vraiment agir sur sa vie c'est en se changeant soi. Voici le descriptif que j'ai fait paraitre sur ma chaine : 

film inspirant pour illustrer un article dans le blog revelessencedesoi.com avec pour sujet une prise de conscience :

- être responsable de son bon ou mal heur
- être acteur de sa vie
- comprendre les schémas de vie et ses fonctionnements internes
- arrêter de se donner des excuses, de se plaindre, de porter la faute sur l'autre, accepter de ne pouvoir changer l'autre mais le pouvoir de se changer soi
... la métaphore du papillon et la relation d'aide
apprendre à se connaitre et se reconnaitre, se réconcilier avec soi et les autres
se donner les moyens de vivre enfin, de trouver le bonheur en SOI ...

Voilà je vous simplifie la vie en vous faisant paraître des films mais je vous impose quand même un peu de lecture préalable, vous êtes là pour travailler sur vous non ? 

Les premières images du film portent sur un texte :

« Une vieille légende hindoue raconte qu'il y eut un temps où tous les hommes étaient des dieux. Mais ils abusèrent tellement de leur divinité que Brahma, le maître des dieux, décida de leur ôter le pouvoir divin et de le cacher à un endroit où il leur serait impossible de le retrouver. Le grand problème fut donc de lui trouver une cachette.
Lorsque les dieux mineurs furent convoqués à un conseil pour résoudre ce problème, ils proposèrent ceci : '' Enterrons la divinité de l'homme dans la terre.'' Mais Brahma répondit : '' Non, cela ne suffit pas, car l'homme creusera et la trouvera.''
Alors les dieux répliquèrent : ''Dans ce cas, jetons la divinité dans le plus profond des océans.''
Mais Brahma répondit à nouveau : ''Non, car tôt ou tard, l'homme explorera les profondeurs de tous les océans, et il est certain qu'un jour, il la trouvera et la remontera à la surface.''
Alors les dieux mineurs conclurent : Nous ne savons pas où la cacher car il ne semble pas exister sur terre ou dans la mer d'endroit que l'homme ne puisse atteindre un jour.''
Alors Brahma dit : Voici ce que nous ferons de la divinité de l'homme : nous la cacherons au plus profond de lui-même, car c'est le seul endroit où il ne pensera jamais à chercher. ''
Depuis ce temps-là, conclut la légende, l'homme a fait le tour de la terre, il a exploré, escaladé, plongé et creusé, à la recherche de quelque chose qui se trouve en lui.''

Je ne suis pas forcément pro-psy, c'est une aide nécessaire pour certains mais j'ai trouvé seule "ma vérité" ou plutôt j'ai trouvé d'autres signes sur le chemin car ce qui a été caché, certes est au fond de nous, mais la vie est là pour semer quelques petits cailloux blancs, qui d'ailleurs en fait se présentent souvent sous la couleur noire avant que l'on sache qu'ils étaient blancs lol !!

Depuis un an et cette revel essence de soi, ma citation préférée sur mes différents profils est : "Connais toi toi même et tu connaitras l'univers des dieux"

 Cette inscription placée sur le fronton du temple de la pythie de Delphes est très célèbre, Socrate l'a développée mais elle n'est pas de lui .... Un individu disposant d’une connaissance parfaite de soi serait donc l’égal d’un dieu. Pour les philosophes grecs, la connaissance de soi-même est synonyme de sagesse. Elle permettrait en effet à l’individu de prendre conscience de ses propres limites, de se libérer de ses défauts, de développer ses qualités, et, en faisant abstraction de tout ce qui dans le « je » n’est pas personnel, de prendre conscience de sa véritable identité et, au fond, de sa liberté.


Après tout ce que j'avais à vous dire, voici enfin le film que j'ai téléchargé et mis en ligne rien que pour vous, veinards, si ça c'est pas une aide sur le chemin de la connaissance de soi ..... et n'oublions pas de remercier Marie Françoise, mon amie cinéphile qui m'a soufflé ...... "oui ..... mais" .....


Je vous souhaite un bon film plein de déclics..... (n'oubliez pas la touche plein écran, c'est mieux ....).... euh je me demande avec tout ce que j'ai dit et ce que je fais ..  s i je ne devrais pas réviser la métaphore du papillon .... est ce que je casse le cocon ? ou simplement je vous propose de vous souvenir que vous avez des ailes ? 

Elisabeth,

Oui ... mais ....film inspirant sur le chemin du bonheur en SOI from revelessencedesoi on Vimeo.


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