Des métalleux suisses tellement embiérés qu'ils pensent être punks. On commence doucement, façon Enfoirés, mais on accélère avec cette chorale qui, la bibine à la main, vous fait entonner, vous aussi le refrain avec une fiévreuse envie d'en ouvrir une.C'est prenant. La Suisse serait donc le dernier territoire punk ? Le dernier territoire qui revivifie une antienne jcksonnienne avec un talent communicatif ? Ici, on ne casse pas des maisons, non non : on casse la baraque !