ORFEU NEGRO
Trois heures du mat Morceau de bravoure dans la dissidence astrale Tes jambes maelstroms à écailler les sirènes Urbaines Flashes dans les stores diluviens Tu poses ton joint Arrime sagement L’esquif pourpre Y monte Cette douce violence de nos membres éraillés Croissants contre ventres creux Trouées de cristal aux narines Tu me paumes Môme aboulique Aux rivages infernaux