Magazine Humeur

Les informaticiens ( ?) de WordPress, mémé Kamizole ne leur dit pas «merci»…

Publié le 22 août 2011 par Kamizole

S’il s’agissait d’un autre mot en cinq lettres, elles ne fleureraient pas bon la rose… tant ils me font caguer grave. J’ai beau savoir que mon ordinateur est hors d’âge et rame plus souvent qu’à son tour et que «l’Orange» est fort amère à Montmorency – faute de relais efficace, les bits peinent à monter la colline – mais quand même ! avec l’ancienne version de WordPress, je n’avais pas trop de problèmes. Même en ne pouvant disposer d’une version plus récente d’Explorer qui m’interdisait certaines fonctionnalités, j’arrivais à travailler vaille que vaille, toujours avec le plus grand plaisir. Et bien, je vais vous le dire en toute franchise : c’est ce plaisir qu’ils sont en train de tuer !

Non pas le plaisir d’écrire, après celui de la recherche des infos… Le travail ne m’a jamais fait pas peur, j’aime ce que je fais et m’y livre d’autant plus volontiers que personne ne m’oblige. Le vrai panard, quoi ! Je suis même du genre besogneux et perfectionniste. Mon côté "ascendant" Vierge qui modère le Lion. Mais cela devient trop galère. Tout à l’heure, je voulus faire un lien dans un article pour deux titres. Ce qui m’était possible ce matin, ne l’était plus à midi. Allez savoir pourquoi. Mystère et boule de gomme.

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? Sans nul doute des crânes d’œuf mais doublés de têtes de piaf ! Ils ont réussi à faire quelque chose qui ressemble à Typepad – que je n’aimais pas trop quand je créai Lait d’Beu en 2005 – mais en bien pire ! Tu parles d’un progrès…

Des errances interminables juste pour enregistrer l’article ! Je suis même incapable de retrouver ensuite les biais par lesquels je suis passée pour y parvenir. Il me faut faire tant de détours qu’ensuite j’oublie lesquels. J’y passe un temps fou. Tours, détours et tours de con. Il faudrait que je note tout pas à pas. Sans même être certaine qu’ils fussent opérationnels la fois suivante : ils ont réussi à inventer "l’informatique aléatoire" ! Vachement fortiches, les mecs.

Ne croyez pas que je galèje. Ça se passe bien comme cela sur WordPress.2 !

Avant, quand j’écrivais un article je n’avais qu’à l’enregistrer en brouillon ou le publier. Trop simple : le menu idoine était dans la colonne de droite, sur le côté du texte.

Je vous demande de me croire sur parole : maintenant, quand j’ai fini de rentrer le titre et l’article et réussi à faire la mise en forme (gras, italique, liens) hé ben, j’ai beau descendre jusqu’au dixième sous-sol (parce qu’il y a une sacrée secouée d’indications fort inutiles) impossible de trouver un simple bouton «enregistrer» ! Nib, queue de chi, inconnu au bataillon.

Si j’ai la chance que le texte ait été enregistré automatiquement - allez savoir pourquoi un jour c’est oui, l’autre c’est non, mais il me faut bien sortir de ce merdier, sinon je pourrais tourner en rond aussi longtemps que les automobilistes piégés autour de la place de Raymond Devos ! – en le reprenant, je peux galérer encore longtemps avant de trouver par un hasard qui tient du miracle (et au tréfonds de la page) un onglet «enregistrer» ! Eureka, Alléluïa…

En plus, avant, dès que j’avais enregistré le brouillon, je pouvais très simplement visualiser l’article tel qu’il apparaîtrait, il s’affichait sous l’article. Trop pratique pour faire les éventuelles corrections ! Maintenant, si je peux toujours afficher l’article, je ne reviens pas automatiquement au texte. C’est d’un pratique ! Grrr… Et si de surcroît, en revenant je ne trouve plus le bouton enregistrer c’est reparti pour la même galère. Des fois, je vous jure que j’en pleurerais de rage et de découragement mêlés… De vrais «tueurs de plaisir» vous dis-je !

Je ne reviens pas sur le tableau de bord. Avant tout s’affichait sur l’écran. Avec un bandeau en haut pour les diverses fonctions. Parfaitement  ergonomique. Aujourd’hui c’est éclaté façon puzzle. Une "treue" n’y retrouverait pas ses petits. Ni sur la bannière du blog, totalement destroy. J’avais mis une nuit à la peaufiner. Et maintenant, cerise sur le gâteau, aussi empoisonné que la pomme de Blanche-Neige, ce sont toutes les indications sur le côté gauche du blog qui ont disparu lors même que je n’ai rien changé à la disposition… Je ne peux plus accéder, entre autres, à la fonction «recherche» des articles anciens.

Pareil pour les photos. Je trouve très important d’illustrer les articles. Sinon, cela fait "pavé" aussi indigeste que nos tracts ronéotypés des années 60-70. Qui aurait envie de les lire aujourd’hui ?

Dans l’ancienne version de WordPress, il y avait un menu permettant de chercher des photos dans nos propres dossiers sur Windows… Disparu ! Trop facile… Maintenant, il faut une URL… Je ne suis pas très douée en informatique quand bien même travaillerais-je sur des ordinateurs depuis plus de 20 ans. Je n’arrivais pas à trouver la solution.

Mais je suis obstinée comme une vieille mule. Pour m’avouer vaincue il faut que ce soit vraiment hors de ma portée. Une idée me trottait dans la tête depuis quelques jours. J’avais souvenance d’un site où j’avais dû passer par un hébergeur de photos pour pouvoir les afficher. Ce matin, j’ai donc exploré les sites gratuits sur Google. Je crois avoir trouvé la solution. Mais il faudra qu’en rédigeant les articles sur Word, je choisisse mes photos enregistrées, aille sur mon site de photos et copie l’URL de chaque photo en même temps que le texte. Encore une fois, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?

Messieurs les prétendus informaticiens de WordPress, je le répète : vous me faites ch… grave. Et je me demande combien de temps il me faudra encore pour insérer cet article… J’en avais encore un certain nombre sous le coude. Ce matin, j’étais pleine d’allant. Mais maintenant, c’est trop tard pour aujourd’hui. Je me lève trop tôt et dès que j’ai déjeuné, je pique du nez. C’est l’heure de la sieste…


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