« Ces sociétés font en moyenne 1,9md$ de bénéfice (mais reçoivent en moyenne) 400m$ en crédit d’impôts ».
Le taux d'imposition des entreprises américaines serait élevée, mais elles y échapperaient par un usage habile des niches fiscales. Les auteurs de l’étude estiment d’ailleurs que les PDG ne sont pas recrutés et récompensés pour l’innovation qu’ils apportent à leur entreprise, mais pour les impôts qu’ils leur permettent d’éviter. (Where Pay for Chief Executives Tops the Company Tax Burden - NYTimes.com)
Parasitisme social, moteur de l’entreprise ?